Annabelle : la punition
Datte: 25/07/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
... avec le chauve, et me fit signe de procéder.Je fis descendre ma robe, doucement, en dessous, je n’avais que mes sous-vêtements ;Je me sentais comme une danseuse nue, quelqu’un qu’on payait pour voir se dévêtir. Sauf que là, je n’allais pas danser. Je le savais et ils le savaient aussi. Je laissai le vêtement tomber sur le sol.— Elle est pas mal, jeta le moustachu avec un ton admiratif.— Tourne qu’on voit ton petit cul, et enlève le reste gronda le chauve.J’obéis. Je tournai devant eux, et je laissai tomber le soutien-gorge et le slip en évitant leurs regards chaque fois que j’étais face à eux.— On n’est pas difficiles, tu vas voir, lança le brun, celui qui m’avait ouvert la porte. Tu peux même choisir lequel tu vas sucer en premier, hein, les gars ?— Ouais !Celui qui était sur le fauteuil vint rejoindre les deux autres sur le canapé et les trois entrouvrirent leur peignoir, me dévoilant leur sexe dressé, de taille différente. J’eus un haut-le-cœur. Je n’allais jamais y arriver. J’allais faillir. Je le sentais.Je fermai les yeux un instant et l’énorme chauve s’impatienta :— Ça vient, oui ?Je sursautai et me laissai tomber à genoux. Je choisis l’homme qui m’avait accueilli. Il était plus joli et avait été agréable avec moi, à l’entrée. Je me faufilai entre ses jambes, posai ma bouche sur son membre et il soupira, ravi :— Du calme, les gars, y’en aura pour tout le monde, pas vrai, Anna ?Je ne répondis pas. J’en eus été bien incapable, non seulement parce que je le suçais, mais ...
... parce que j’avais peur de ne pas y arriver. Il releva mes cheveux, probablement pour que les autres puissent mieux voir ce que je faisais.— Putain, les gars, quelle bouche ! Oh !— Tu m’excites, petite ! Viens là ! Donne m’en un peu.Le gros rapprocha son sexe de mon visage et je quittai celui du brun pour m’occuper de lui. Son odeur était désagréable. Son corps aussi, mais je fermai les yeux et récupérai son membre, plus petit, entre mes lèvres. Il poussa ma tête brusquement, comme si je ne poussais pas son sexe suffisamment loin en moi, mais ce n’était pas le cas : il y avait bien assez de place pour une si petite chose.— J’avais pas fini, gronda le premier.J’alternai. Un sexe, puis un autre, trois coups chacun, deux coups chacun, quatre coups chacun. À ce rythme, ils n’éjaculeraient jamais. Et il en restait un troisième. Le blond. Celui-ci se lassa d’attendre, il tira sur ma main, la posa dans son entrejambe.— Fais-toi plaisir, tiens, dit-il dans un rire.Je le caressai, mais c’était difficile de conserver le même rythme pour chacun. Je comptais les coups de bouche, comme un métronome. Plus j’étais régulière, plus vite ils éjaculeraient. Celui qui n’avait que ma main gémit :— Ah oui, quelle garce tu fais. Et t’as un de ces culs. Attends un peu.Il se releva et je le vis se placer derrière moi. Il plongea un doigt dans mon sexe, effectua un petit mouvement de va-et-vient :— On ne va pas se priver, les gars ! Après tout, faut pas oublier que la cendrillon se change en citrouille ...