1. Annabelle : la punition


    Datte: 25/07/2021, Catégories: Anal Mature,

    ... à minuit.— Ta gueule, gronda le brun. Continue, petite, suce. Ah oui, comme ça !L’homme derrière moi poussa son sexe dans mon vagin et j’eus du mal à maintenir le rythme de mes fellations. Le gros grogna :— Doucement, petite. Joey, la pousse pas trop, tu veux ? Et ne la salit pas, merde !Des mains me tenaient immobile, mais le sexe me prenait par-derrière dans un rythme rapide. Je changeai de pénis, reprit celui du brun. Il retint ma tête :— Oh ! Oui ! Reste là, petite, je vais venir.Il donna quelques coups de bassin et éjacula dans une plainte. Il continuait de me tenir la tête et l’homme profita de ce moment d’accalmie pour me prendre plus fort :— Je vous dis pas, les gars, elle est bonne !— Reviens ici, ordonna le gros.La main libéra ma tête et je retournai à l’autre sexe, un peu en oblique. Le brun se pencha pour toucher ma poitrine.— Du calme, Joey ! gronda l’homme que je suçais. Tu nuis à mon rythme.— Attends un peu, souffla l’homme derrière, je vais venir.— Ah non ! Tu ne vas pas la salir !Le sexe quitta mon vagin et il m’empoigna par les cheveux :— Viens ici, petite, suce !Il me suppliait, me tira vers lui. Je réprimai une plainte de douleur. Il écrasa son sexe dans ma bouche avant même que je sois devant lui, se mit à reprendre ses mouvements de bassin en gémissant :— Ah oui ! Putain, quelle bouche !Lui, il cognait le fond de ma gorge et m’écrasait le nez contre son ventre. Je devais retenir ma respiration, mais cela ne fut que de courte durée. Il hurla des tas ...
    ... de « oui » avant d’éjaculer et je n’eus pas le temps d’avaler son sperme que le gros grogna, encore :— T’as fini de me faire passer mon tour ?Je me dépêchai de revenir vers lui :— Pardon, monsieur, dis-je avec une petite voix.Je retournai à son sexe. Il avait perdu un peu de tonus. Je m’appliquai davantage et je l’entendis dire :— Vous deux, laissez-moi venir en paix !— Allons Éric, y’en a pour tout le monde, je te dis ! On ne va pas laisser ce beau cul libre quand même !Des doigts s’insérèrent dans mon sexe, me caressaient doucement. Je crois que les deux essayaient d’y prendre place. Ils malmenaient ma vulve et je ne pus réprimer un gémissement de douleur.— Tu vois qu’elle aime ça, lança Éric. Putain qu’elle est bandante ! Bon, Joey, tu viens, oui ?Le gros se mit à cogner ma tête contre son énorme ventre. Il suait terriblement. Il respirait avec bruit. J’augmentai le rythme et la pression de mes lèvres. Il souffla différemment :— Oh oui, comme ça, c’est bien.Son ton me suppliait. Qu’il était étrange de les sentir si vulnérables lorsqu’ils étaient sur le point d’éjaculer alors que, en général, ils se plaisaient à m’insulter. Il jouit avec bruit, m’éclaboussa la bouche. Déjà, derrière, un autre homme me tirait vers lui :— À toi, Frank, essaie-la !Ils parlaient de moi comme d’une voiture, mais je n’eus pas le temps de froncer les sourcils qu’un autre sexe me pénétra sans attendre. Il me secoua au-dessus du membre ramolli du gros. Je fermai les yeux pour éviter ce spectacle ...
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