Annabelle : la punition
Datte: 25/07/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
... dis que tu vas aimer !Il cracha dans sa main, écrasa un doigt contre mon anus, l’enfila sans mal.— Oh oui, c’est bien serré. T’es vierge, c’est ça ?J’essayai de m’avancer, de l’obliger à retirer son doigt de là. Je parvins à tomber à côté de la table.— Merde Joey ! Tu la tiens, oui ?Le moustachu me récupéra, m’écrasa sur la table avec v******e.— Tiens-toi tranquille ! dit-il en emprisonnant mes mains dans l’une des siennes et en écrasant mon dos contre la table. Allez, Frank, sers-toi !Des mains m’écartèrent les jambes et des doigts retournèrent entre mes fesses. Je n’avais pas beaucoup de latitude, mais je tentai de me dérober à son geste.— Oh oui, petite, ça m’excite quand tu te débats comme ça. Retiens-la, Joey, j’arrive.Son sexe me transperça l’anus, m’arrachant un cri.— Oh oui, hurle ! Je veux t’entendre crier.Il m’empoigna les cheveux, me tira vers l’arrière, continua de m’enculer en soupirant de joie :— Quel cul ! Je vous jure ! Faudra payer un bonus, je le sens ! Bien serré, comme je les aime.— Il sait les choisir, ses putes, hein ?Je sanglotais. J’avais du mal à croire que John m’avait jetée là, avec trois hommes, comme une putain.— Je savais qu’elle était vierge, les gars ! Je vous dis pas comme je prends mon pied ! Oh !J’avais cessé de me débattre. Je n’y arrivais plus. Je restai là, à pleurer. John m’avait trahi, il m’avait vendue, il m’avait abandonnée. Je sanglotais comme une enfant. Quand il vit que mon corps s’était relâché, le moustachu me fourra son sexe ...
... dans la bouche.— Allez, suce, petite.Je ne bougeai pas. Je le laissai faire, sans participer. Qu’ils prennent tout ce qu’ils veulent. À chacun de leur coup de bassin, là où ils le souhaitent. Mon cœur se brisait un peu plus devant la punition de John. Un mélange de colère et de tristesse s’installait en moi.Le gros voulut sa part, m’écrasa de tout son poids et je crus que la table allait céder. Dès que mon esprit s’évadait de cette pièce, on se déhanchait avec rage, me tirait les cheveux, me claquait une fesse.On voulait que je crie. Je criai. Mais aucun plaisir n’en surgit.Minuit finirait bien par sonner. Je ne finis par souhaiter qu’une seule chose : que John m’ait vendue suffisamment cher pour toutes les bassesses auxquelles ces hommes me soumettaient.John me récupéra à minuit pile. On le complimenta sur mes talents et personne ne se plaignit de toute la partie où j’étais restée immuable et passive. À la limite, ils s’en étaient bien fichés. Ils m’avaient éjaculé dans la bouche, sur le dos, sur le ventre. Que leur importait mon plaisir, au fond ? Après des banalités que je n’écoutais plus, John me ramena à la voiture. Il démarra et nous étions déjà loin de cette maison lorsqu’il prit la parole :— Ça a été ?Je ne répondis pas. Les vibrations de la voiture me retournèrent l’estomac. Je soufflai :— Arrête la voiture, je vais être malade.Il stoppa, si sec que cela ne fit qu’amplifier mon haut le cœur. Je me jetai hors de là, vomit sur le bord de la route en toussant. J’enfonçai ...