Me voilà dans un BTS coiffure (5) - Histoires de Sexe

Me voilà dans un BTS coiffure (5)

... barbouillé le visage de sa cyprine à l’aide de sa culotte. Cela était vraiment très agréable que d’être le jouet sexuel de deux femmes. Pour ce qui est des dessous féminins, cela ne me déplaisait pas, bien au contraire, je finirai par me faire au fait de porter des chaussures de femmes. Marie était maintenant complètement sur mon sexe, elle commençait à monter et descendre dessus. En revenant de sa rapide douche, ma belle est venue nous rejoindre sur le lit. — Je suis fière de toi mon chéri. — Maman a l’air de beaucoup aimer la position. Pendant que Coralie me parlait, alors qu’elle était nue comme moi, elle est venue elle aussi, se mettre à califourchon sur moi, mais face à moi. Je me retrouvai avec le minou de ma belle, juste à portée d’un coup de langue. Un petit mouvement de sa part a fait que maintenant je n’avais même plus besoin de tirer la langue, j’avais son minou sur le bout des lèvres. Que de premières je vivais avec ces deux femmes. — Tu te rends compte mon chéri, maintenant tu vas donner du plaisir à deux femmes en même temps. Pendant que j’étais en train de commencer à brouter le minou de Coralie, je constatai que les mains de la maman commençaient à s’occuper de la poitrine de ma belle. Avec deux femmes sur moi, il ne m’était pas évident de respirer, mais surtout de pouvoir donner des coups de reins pour aller plus loin dans les entrailles de la maman. Je commençais à bien connaître le minou de ma belle, et je savais où je devais donner mes coups de langue pour ...

... lui faire du bien. — Tu vois Franck, tu arrives à honorer la maman et la fille en même temps. Pour compenser ma quasi-impossibilité de donner des coups de reins, maintenant ma directrice des études contractait de plus en plus fort son vagin et cela me faisait un bien fou. À entendre la maman soupirer, je savais que j’étais sur le bon chemin pour la faire jouir de nouveau. ngnmmfc Mes coups de langue faisaient aussi beaucoup de bien à ma belle, j’en arrivais à imaginer que nous arriverions à jouir les trois en même temps. — Continue mon étalonne, cela va venir dans quelques secondes. — Tu es vraiment une baiseuse de rêve. — Bienvenue dans notre famille. C’est sur ces mots que Marie commençait à jouir et moi je la suivais quelques secondes après. Je n’avais plus la force de brouter le minou de ma chérie, par contre, sa mère n’arrêtait pas de lui solliciter la poitrine, ce qui lui faisait un bien fou. Finalement, ma belle a fini par, elle aussi, prendre son pied, mais je n’en étais pas pleinement à l’origine. Le principal était, que tous les trois ayons pris notre pied ce matin-là. Maintenant que tous les trois étions épuisés, les deux femmes sont venues s’allonger dans le lit de chaque côté de moi et ont tiré la couette pour nous protéger de la fraîcheur après l’effort. Cela m’a fait tout drôle de sentir ces deux femmes se coller à moi, chacune un bras sur ma poitrine et une jambe collée aux miennes. Cela me faisait un bien fou de pouvoir jouir, dans la maman ou dans la fille, ...