Enfer ou Purgatoire ?
Datte: 26/07/2021,
Catégories:
f,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
confession,
Dans l’épisode précédent : Cynthia a fait une curieuse découverte. Alors que depuis plus d’un an elle déprime dans son appart pourri, elle découvre que son voisin polonais, Beledni, possède une énorme queue et qu’il est tout, sauf un romantique. Cette découverte l’a bouleversée. Plus d’une semaine s’est écoulée depuis la scène de la sodomie sauvage d’Irina par Beledni. Je ne sais pas ce qui s’est passé en moi mais depuis, le bruit qu’ils font ne me dérange plus. Au contraire, je suis aux aguets. En permanence, je suis à surveiller, écouter, épier, espionner leurs moindres faits et gestes. J’ai honte de moi, je me dis que je vais bien finir par me faire remarquer et que je vais m’attirer les foudres de cette grande godiche, mais c’est plus fort que moi. Au moindre bruit, je sors de ma tanière et je me colle au judas, je mate ce qui se passe sur le palier ou je fonce discrètement dans la cuisine pour espionner la porte-fenêtre. Le soir, je me surprends à coller mon oreille contre le mur de la chambre dans l’espoir d’entendre chaque respiration, chaque halètement, chaque gémissement, chaque cri d’Irina ou un grognement sourd, une parole que j’imagine vulgaire, de Beledni à son encontre. À ces moments-là, je crois voir, dans mon esprit perturbé, la grosse queue de mon voisin entrer et sortir de la chatte de sa femme et quand elle hurle, de son cul. Je mouille debout comme une folle, je me masturbe violemment avec mes doigts jusqu’à en perdre conscience, mais je reste sur ma ...
... faim. Je ne jouis pas. Je reste frustrée, trempée, excitée, embrasée, mais rien n’y fait, impossible d’assouvir cette envie de jouir qui me transperce le ventre. J’ai bien eu l’idée de trouver un mec pour me faire ma fête, mais j’ai tellement été déçue que j’ai peur de rester dans un état pire que celui-ci. J’ai pensé me procurer un énorme vibro, mais comment ? Par internet ? Je n’ai plus de carte bleue, plus de chéquier afin de limiter les frais de fonctionnement de mon compte. Aller dans un sex-shop ? Vous n’imaginez pas que je puisse faire une chose pareille ? Il y en a bien un dans le quartier, mais si on me reconnaissait ? Imaginez la réputation que j’aurais. Non ! Impossible ! Je préfère encore me finir à la main. Je me soigne, je me rebelle. J’ai grossi ? Et alors ! Je les emmerde ! Je les emmerde tous ! Tous autant qu’ils sont ! Ce matin, je me regarde devant la glace. J’ai le mètre ruban à la main, histoire d’évaluer les dégâts. Pourquoi un mètre ? Pour reprendre mes mensurations, pardi ! Je ne vais pas continuer à me trimbaler dans des trucs trop petits. Il faut au moins que j’achète des soutiens-gorge, des culottes et peut-être un tailleur neuf, si je veux me rendre à un entretien d’embauche. Allez ! Courage Cynthia, vas-y, mesure. Aïe … Un bonnet de plus et… une taille de pantalon. Impossible ! Je me regarde encore. Quelle paire de seins. Mon dieu ! Je ne m’étais même pas rendu compte à quel point ils pouvaient être devenus gros. Il faut dire que ça fait bien cinq ans ...