Le casino
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
entreseins,
Oral
pénétratio,
occasion,
L’homme était assis au casino, jouant à la roulette. Il remarqua à ses côtés une très belle blonde, très classe qui semblait jouer mécaniquement. Son visage à la Grace Kelly, d’une beauté très pure, auréolé de cheveux blonds, se tendait au fur et à mesure de ses pertes. Très élégante sa robe bustier de jersey verte, tendue par une poitrine qui semblait généreuse, dénudait ses épaules délicates. S’il ne se privait pas de la détailler à la dérobée, Sophie, elle, ne lui avait pas accordé encore un regard, et semblait perdue dans ses pensées. En voyage d’affaires avec son mari, elle était descendue au casino de l’hôtel par désœuvrement, ce dernier l’ayant abandonnée une fois de plus pour sortir avec ses clients. Elle l’avait rencontré alors qu’elle était étudiante et avait été séduite par cet homme plus mûr, riche banquier d’affaires, qui la changeait de ses petits amis occasionnels, étudiants comme elle, mais qu’elle trouvait souvent gamins dans leur attitude. Elle avait cédé à ses avances après un mois de cour assidue. Issue d’un milieu bourgeois assez coincé elle avait accepté sa demande en mariage au bout d’un autre mois, arrêtant ses études, plus pour quitter le domicile familial qui l’étouffait, que par vraie passion. Mais elle s’était vite rendue compte, au bout de quelques mois, que seules les affaires intéressaient vraiment son mari, qu’il l’avait épousée comme on s’offre une belle voiture et que sa beauté était surtout pour lui un symbole de réussite qui lui permettait ...
... de parader à son bras. Il ne la touchait quasiment plus, croyant compenser ce manque d’affection en la couvrant de cadeaux. Mais, à peine 28 ans, elle avait déjà l’impression de s’étioler comme une fleur fanée. Quand elle perdit son dernier jeton, elle se mordit la lèvre, hypnotisée par la roulette qui continuait de tourner, mais restait assise, se tordant nerveusement les mains. Ce n’était pas la perte d’argent qui la faisait hésiter à se lever mais plutôt la perspective de retrouver la solitude de sa chambre. Se méprenant sur son attitude, son voisin tenta sa chance et poussa une pile de jetons vers elle. — Je vous les prête, dit-il avec son sourire le plus charmeur. Au regard de l’homme qui louchait dans son décolleté, et à la cuisse qui frôlait la sienne, Sophie ne fut pas dupe de sa générosité. Outrée qu’il puisse penser qu’elle se laisserait acheter, elle lui jeta un regard noir et refusa sèchement. Mais il insistait. — Vraiment, c’est avec plaisir, je vous assure… Elle l’observa plus attentivement. De type libanais, la quarantaine, très brun, il avait un charme oriental indéniable qui n’était pas déplaisant. Inconsciemment, elle était flattée de l’attention qu’il lui prêtait. Après tout, cela pouvait être amusant de lui laisser croire qu’elle rentrait dans son jeu, et au moins cela l’occuperait et lui changerait les idées. Elle arrêterait dès que cela irait trop loin. Elle finit donc par accepter, mimant un sourire contrit, les yeux baissés, parfaite incarnation de la ...