1. Le casino


    Datte: 13/11/2017, Catégories: fh, inconnu, hotel, fsoumise, entreseins, Oral pénétratio, occasion,

    ... fermes. Haletante, toujours soumise, Sophie le laissa glisser la dentelle sous ses seins, libérant sa poitrine aux larges aréoles rose pâle. Malgré sa rondeur, le galbe parfait de son buste les faisait se dresser orgueilleusement. Les yeux toujours baissés, la respiration de Sophie se fit plus saccadée. Prenant une autre plaque, il la descendit le long de son ventre qu’elle creusa instinctivement comme pour échapper à la caresse mais ne fit rien pour l’empêcher de s’insinuer sous la dentelle de sa culotte, glissant au creux de ses cuisses en repoussant le tissu, dévoilant la mousse blonde de son pubis. Les sens en feu, elle poussa un petit jappement quand le plastique frôla son clitoris avant de glisser entre ses lèvres intimes. Le contact du plastique froid lui fit serrer les cuisses. Du genou, il les écarta doucement pour mieux la caresser avec la plaque, forçant du coin l’orée de son vagin. Malgré elle, la caresse perverse la faisait réagir, la rendant moite. Il dégrafa alors son soutien-gorge et fit rouler sa culotte le long de ses jambes fuselées, la laissant uniquement vêtue de ses bas, son porte jarretelle et de ses escarpins. Elle sentait son regard brûlant d’envie sur son corps dénudé, appréciant la blancheur nacrée de sa poitrine bien épanouie, la finesse de sa taille mise en valeur par la ceinture de dentelle et le triangle régulier de sa fine toison claire, dévoilant en son creux le départ de ses fines lèvres roses. Mais elle recula instinctivement quand il ...
    ... libéra son sexe déjà dressé, se rendant compte que, prise à son propre piège, elle ne maîtrisait plus grand-chose et que les événements allaient un peu vite pour elle. Sentant sa réticence, il posa 2 000 € sur la table et la regarda durement : — Jusqu’au bout ! Sophie ne pouvait plus jouer l’effarouchée alors qu’elle venait de se laisser dénuder et caresser deux minutes avant. Elle savait qu’elle ne pouvait plus arrêter le jeu ni ignorer la douce brûlure de son ventre et de ses seins. Rien ne peut plus l’empêcher de se donner à cet inconnu. Sans rien dire, elle se rapprocha, le regard trouble et vint envelopper le sexe de l’homme de ses doigts fins, le caressant doucement, prenant enfin l’initiative. La verge de l’homme bondit contre sa paume. — Vas-y, il faut que tu mérites ton fric. Les paroles crues, loin de la choquer, l’excitèrent encore plus. Sa frustration sexuelle des derniers mois put enfin se libérer et, sous le couvert fallacieux de l’argent, elle pouvait se laisser aller à tous ses désirs. Le masturbant d’une main, elle vint lui palper les testicules de l’autre, le faisant grogner. Les mains de l’homme palpaient son corps sans ménagement, explorant les fermes rondeurs, pinçant les pointes dardées, pétrissant les fesses glissant dans leur sillon jusqu’à son sexe humide qu’il força d’un doigt, la faisant se cambrer. L’homme n’en pouvait plus de voir ce corps superbe s’offrir si complaisamment pour ce qu’il croyait être de l’argent et voulant aller plus loin, lui intima : ...
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