La binoclarde - Histoires de Sexe

La binoclarde

... qu’il n’y a pas que ces imbéciles… qui ne savent pas ce qu’ils perdent en traitant les femmes comme des catins ! ". Mais je culpabilisais… j’avais été seul à jouir. — " Et toi ? tu n’as rien eu ! "— " Tu avais la tête ailleurs ! je me suis touchée pendant que je t’avais dans la bouche… "— " Coquine… ! ", dis-je, jetant un coup d’œil vers sa braguette encore entr’ouverte… Elle était complètement à l’aise. Je ne l’aurais jamais imaginée comme ça ! Je ne savais plus où j’étais, moi qui avait tant de mal à décontracter mes " belles " copines. — " Tu sais, je me touche souvent… toute seule, je suis souvent toute seule… ! ", dit-elle avec une ingénue sincérité…— " Je me trouve bien égoïste, j’aurais dû attendre… "— " Mais non ! rien n’était préparé, et j’ai un pantalon ! "— " J’aurais moi aussi voulu goûter à ton minou ", lui dis-je portant à ma bouche sa main que je savais tout à l’heure sur son bouton… Ses doigts étaient encore salés. — " Mmm, c’est bon tes doigts… j’aime leur goût ! touche-toi encore, et redonne-les moi… " Surprise un temps, elle remet sa main dans sa culotte, et me la redonne. Je les suce avec avidité, puis je reviens à sa bouche. Nos langues encore se nouent. Je ne peux en rester là… — " Attends… Il est tard, il fait bon et il n’y a plus personne. Si ta chemise est assez longue, on ne verra rien, enlèves ton pantalon… ", lui dis-je.— " Non ! c’est trop risqué ! ".— " Nous ne sommes pas très éclairés, mais si tu veux, nous pouvons aller dans le fourré. "— ...

... " … " Je l’entraîne. Mollement elle résiste… puis me suit. Nous pénétrons ce fourré, pas très grand. Là, debout complètement cachés, nous nous embrassons à nouveau. Nous nous serrons. Comme j’aime ces moments où chacun se livre à l’autre. La végétation, assez haute, n’était là que pour cacher le poste d’eau du jardin. Sur la construction, un coin pas très haut lui fera un bon siège, et je pourrai m’agenouiller devant elle… — " Viens " D’abord, m’asseyant sur le poste je l’approche de moi et défait sa ceinture. Elle se laisse faire. Je baisse son pantalon. — " Lève les jambes ", lui dis-je. Elle se libère, je plie son pantalon et le pose à côté de moi. Sa chemise est bien plus longue que le tricot que je lui ai offert. Presque une courte robe… laissant apparaître deux cuisses galbées, fortes et longues en même temps. Je les prends à pleines mains, les embrasse, les pétris doucement… Je remonte sous sa chemise et rencontre sa culotte. Pas une de ces brésiliennes qui obligent à se " faire le maillot ", ce que je déteste : vilain à voir, désagréable sous la langue, non : une vraie culotte, comme dans le temps… J’empoigne alors ses fesses et, d’un coup fourre ma tête sous sa chemise, contre cette culotte. Je sens son buisson bien dru, sous le tissu contre ma joue. Je tourne la tête, et de ma langue essaye de remonter sous l’élastique, mais pas besoin car ses poils dépassent… Mmmm, comme j’aime ces frisottis qui descendent presque sur ses aines… ! ! ! — " Ma belle, je suis bien ...