La Grève
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
fh,
médical,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
conte,
historique,
humour,
... contenterai de tes baisers, en hors-d’œuvre, puis tu me donneras la tétée, puis j’irai boire le nectar de ton c…— Bon arrête-toi là et passe à l’action, tu veux ? Ils ont gagné l’étage, par l’escalier de chêne ciré qui embaume et, là-haut, se sont affalés dans le grand lit, dont la rivière est profonde. Elle lui a baissé ses chausses : — Voyons voir comment ça va depuis la fois dernière : Oh mais ça se porte très bien, ça madame ! Ça ferait même des progrès, il me semble, je sens que je vais me régaler, moi, ce soir, Houamm !— Aïe !— Oh ! Trésor ! Je t’ai fait mal ?— Non, je dis toujours aïe avant qu’il ne soit trop tard.— Bien ! Tu vas me payer ça ! Avec usure !— Rhâââââ… Sournoisement, il remonte les jupes de sa maîtresse jusqu’à lui en faire un fichu, joliment disposé avec la dentelle du jupon qui couvre bien sa chevelure ; ses deux mains caressent le joli fessier, ce qui semble lui être agréable car elle s’arrête net de sucer sa friandise. Une petite tape sur le beau cul blanc, et c’est reparti. — Allez, mon chéri, tu vas me l’user à lécher aussi avidement, bientôt j’en aurai plus assez pour te satisfaire…— Mais non, grand couillon, ça ne s’use pas, voyons— Et comment peux-tu savoir, t’en as donc déjà léché tant que ça jusqu’ici ?— Oui, parfaitement et même de plus grosses que la tienne !— Oh ! Chienne de femelle ! Tu vas me rendre des comptes pour une insulte pareille ! Dans les cris et les rires fous de femme chatouillée, elle s’est retrouvée couchée à plat ventre sur ...
... les genoux de son amant, et une rafale de claques s’abat sur son mignon postérieur, lui donnant rapidement une certaine couleur : — Aïe ! aïe ! arrête ! aïe ! Pitié ! aïe ! Je me suis …aïe ! trompée, c’est…aïe ! Toi qui as la plus grosse…aïe ! S’il te plaît, ça suffit, là …— Tu en es sûre ?— Oui, oui, oui !— Voyons voir ! Et il passe une main entre les cuisses, le majeur glisse aisément entre les lèvres onctueuses…Je pense qu’il t’en faudrait encore un peu ! D’un seul vigoureux coup de reins, elle s’est retournée — Non je t’assure, c’est bien comme ça !— Bon, alors allons-y ! Il la met en position, jambes en l’air, et l’embroche à la hussarde. Elle pousse un gros soupir. Ils s’activent tous deux, il souffle comme un bœuf, elle émet des petits cris, et puis c’est l’explosion finale. Ils se sont un peu assoupis. Lorsqu’elle rouvre les yeux, c’est pour constater qu’il la veille, avec un sourire émerveillé. Elle en a chaud au cœur. — C’était bien bon, ce que tu m’as fait là ; ça faisait longtemps, tu m’as fait languir, ces derniers jours !— Ben tu sais c’est à cause du Mundial…— Du quoi ?— La coupe des coupes du trophée de la meilleure équipe de jeu de boules à "pé tanques", Fernand n’aime pas y aller tout seul et ça se termine à la taverne dans des flots de bière jusqu’à pas d’heure…— Et vous rentrez fin saouls en vous portant l’un l’autre, je vois ça comme si j’y étais ! Aymard ne répond rien. — Tu sais ce qui te reste à faire pour te faire pardonner ? dit-elle en souriant avec ...