La Grève
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
fh,
médical,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
conte,
historique,
humour,
... un regard en coin très coquin. Il se résigne assez facilement à sa pénitence ; il délace le corsage, repousse les épaulettes et dénude la superbe poitrine. Ces seins ronds, pleins, aux petites aréoles roses de jeune fille, l’émeuvent plus qu’il ne pourrait dire. Il porte sa bouche sur un téton et l’agace de ses lèvres, de sa langue. Elle est la tête renversée, elle respire fort. Il change de sein, elle lui saisit le crâne, plonge ses doigts dans les cheveux drus et bouclés. Il s’empare de ses cuisses et les soulève ; elle pense se faire empaler encore mais il fond sur la vulve avec sa bouche, il souffle sur la fourrure et les lèvres de l’air chaud qui la fait gémir. Il multiplie les agaceries avant de se décider, enfin, à introduire sa langue dans la fente gonflée d’excitation, à remonter en frétillant vers le haut, à atteindre un logement, à frapper à la fenêtre, "Y a quelqu’un ?" et oui on se montre aussitôt, mais un coup de langue sur le nouveau venu provoque un saut de carpe de la dame. Il en a été un peu surpris, son nez s’est trouvé enfoui entre deux replis de chair moelleux et odorants et la belle est partie au septième ciel. — Ben dis-moi, mon cœur, tu en avais bien besoin, ce me semble ! Elle ne répond rien, essoufflée, elle récupère. Ils vont rester enlacés un bon moment, ils sont débraillés, il caresse un sein, une fesse, elle ronronne. Ils se sont attablés devant une copieuse omelette allongée de lait, parfumée de persil et de ciboulette finement hachés. — Et ta ...
... belle Dominique, comment va-t-elle ?— Fort bien, mais tu l’as vue la semaine dernière, pourquoi me poses-tu la question ?— Et bien je voulais te dire : elle nous fait un petit caprice, et je pense qu’il vaudrait mieux fermer les yeux et accéder à ses souhaits.— Et quoi donc, encore ?— Elle m’a demandé d’appuyer auprès de toi son souhait de se garnir, pour ses prochaines lunes, avec ces nouveaux cocons…— Oui, je sais, je sais ! Et parfumés au lilas !…— Ah ça non ! Je m’y oppose formellement ! Ces fragrances qui sont élaborées je ne sais où, et fixées avec je ne sais quelles graisses, et elles vont toutes se coller ça sur des muqueuses si fragiles !…Il n’en est pas question !— D’accord, d’accord ; fort bien, mais tu vas toi-même le lui expliquer.— Bien sûr ! Tu me l’envoies dès demain, et crois-moi, elle se laisse convaincre ou je lui tanne les fesses, elle choisira ! Aymard est donc allé chez l’apothicaire, son ami Albert. Dans la boutique, une seule cliente qu’Albert est en train de servir ; sans doute l’heure creuse, en tout cas une chance ! En attendant son tour, Aymard inspecte distraitement la boutique, mais il ne peut se résoudre à laisser son regard s’arrêter où que ce soit : tous les murs et surfaces planes disponibles sont occupées par des calicots, naïvement peints, représentant des silhouettes de femmes plus ou moins dénudées, plutôt plus que moins, et de mignons fessiers bien pommés, le tout pour vanter les mérites de tel onguent ou telles pilules, lesquels, assure ...