1. Gène du vice ? (5)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: Trash,

    CHAPITRE 5 -Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans -Adrien, son copain, 20 ans -Virginie, la sœur d’Adrien, 18 ans -Agnès, la mère d’Adrien et de Virginie, 38 ans -Vincent, le copain de Virginie, 25 ans -Richard, le père d’Adrien et de Virginie, le mari d’Agnès, 50 ans Lors des jours qui suivirent ma première expérience de sexe sale, nous reprîmes nos habitudes de baise comme si cette expérience devait rester sans lendemain. J’effectuais mes allées et venues entre chez mes parents et la maison d’Adrien et de sa famille, passant mes après-midi à niquer avec lui, sa sœur Virginie, ses parents Agnès et Richard et Vincent le copain de Virginie. Je me lavais à nouveau normalement et me préparais aux sodomies en nettoyant préalablement mes intestins. Je gardais en mémoire un souvenir dérangeant mais agréable de ma première expérience scatophile et je savais au fond de moi que ce palier franchi, je ne tarderais pas à retourner vers ce nouveau vice. J’attendais simplement l’occasion, je savais qu’Agnès et Richard étaient également portés sur la saleté et espérais qu’Adrien avait apprécié autant que moi cette nouvelle pratique. Cette occasion se présenta la semaine qui suivit. J’avais passé un nouvel entretien d’embauche et étais partie de chez moi toute la matinée jusqu’en milieu d’après-midi, je décidais de me rendre directement chez Adrien. Bien-sûr je n’avais pas eu le temps de faire un brin de toilette au préalable, mais j’avais besoin de retrouver mes partenaires au plus ...
    ... vite. Sans doute qu’inconsciemment j’espérais que mon manque d’hygiène intime serait prétexte à de nouvelles perversions ! Adrien n’étant pas dans sa chambre, je sonnais à la porte principale. C’est Richard qui m’ouvrit. Il m’accueillit par un baiser passionné et m’invita à entrer en me disant qu’il allait appeler Adrien. Je lui dis que je devais au préalable passer par la salle de bain et m’y dirigeai directement. J’entrai sans frapper et refermai la porte derrière moi. Une fois dans la pièce – très vaste pour une salle de bain – j’eus la surprise de voir Agnès à califourchon au-dessus de l’immense baignoire jacuzzi, nue. Elle fut également surprise de me voir, elle semblait gênée, ce qui n’était pas dans ses habitudes, même quand je la surprenais nue. Une odeur entêtante me fit immédiatement comprendre qu’elle venait de se soulager dans la baignoire. Visiblement troublée, elle me lança : -« C’est occupé. » Excitée par l’idée de surprendre ma belle-mère en train de faire des choses sales, je ne tins pas compte de ses propos et m’approchai d’elle pour venir l’embrasser sur la bouche, comme nous avions pris l’habitude de nous saluer. Dès que je vins près de la baignoire je vis que plusieurs étrons en jonchaient le fond, baignant dans un liquide doré qui laissait peu de doute sur sa nature. L’odeur était très forte. Agnès m’embrassa presque timidement et me dit, elle habituellement si sûre d’elle, presqu’un ton d’excuse : -« Je ne sais pas ce qui m’est arrivé, je n’ai pas fait ...
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