Gène du vice ? (5) - Histoires de Sexe

Gène du vice ? (5)

... avec ferveur pendant que son mari nous souillait toujours de son urine fraîche et brûlante ! Je savais que je franchissais une nouvelle étape dans la perversion en acceptant des pratiques totalement immorales et immondes avec mes beaux-parents, mais j’étais si excitée, que rien ne pouvait m’empêcher de m’enfoncer dans le vice le plus ignoble. Je pensais régulièrement à Adrien, je savais que lui aussi devait aimer les jeux sales, puisque nous avions pratiqué il y a quelques jours et que j’étais certaine que cela lui avait plu. Je l’imaginais nous rejoindre pour partager nos perversions. Lorsque la vessie de Richard fut vide, il approcha sa queue de laquelle gouttait encore de la pisse, et il la fourra dans ma bouche. Je suçai avec avidité ce membre encore souple pour le faire durcir. Après avoir avalé directement de l’urine à l’instant, je ne trouvai pas le goût de pisse trop prononcé. Je m’appliquai à astiquer le membre avec ardeur et il fut rapidement tout dur. Agnès le prit quelques instants en bouche, puis elle le quitta et se retourna pour s’agenouiller dans la baignoire géante, présentant son derrière à son mari et faisant face aux étrons qu’elle avait chiés un peu plus tôt. Richard comprit l’invitation de sa femme et présenta sa queue tendue sur l’anus qui s’offrait à lui. Une longue poussée continue lui ouvrit le cul de sa femme qui gémissait de plaisir. Je regardai la scène, très intéressée par cette sodomie qui promettait d’être bien crade. En effet, dès que ...

... Richard eut enfilé son membre entièrement dans l’intestin d’Agnès, il commença à la pistonner et à chaque fois qu’il sortait sa bite était couverte de traces brunes qui ne laissaient aucun doute sur leur origine. La pénétration dura quelques minutes, puis Richard sortit et Agnès se retourna. Son visage et une partie de ses cheveux blonds étaient maculés de merde. Elle avait dû plonger sa tête dans les étrons qu’elle avait chiés ! Quelle salope elle faisait ! Sans vraiment réfléchir je portai ma bouche contre la sienne et goûtai à nouveau à ses excréments, au goût amer infect et délicieux à la fois. Richard semblait apprécier la vision de sa femme et de sa belle-fille se roulant une pelle merdeuse devant lui. Il bandait dur et sa bite était couverte du caca de sa femme, il voulait la souiller encore davantage. Sans prendre la peine de se nettoyer, il me mit à quatre pattes dans la baignoire et planta son membre dans mon anus, pour me pénétrer comme il venait de le faire avec Agnès. Je savais que mon intestin n’était pas très propre, il allait mélanger la merde de sa femme à la mienne, quel acte pervers et excitant ! Il ramona mon cul pendant de longues minutes. Je crois qu’il embrassait Agnès en même temps, j’entendais des bruits de salive, entre mes gémissements de plaisir. Lorsqu’il se retira, je me sentis me vider. Non seulement mon cul se libérait de son gros sexe, mais également d’une autre matière : ma merde ! Un pet vint conclure ma vidange. Il fut accueilli par des ...