1. Je fantasme sur ma soeur (2)


    Datte: 27/07/2021, Catégories: Hétéro

    ... procuré un bel orgasme, et pourtant je trouve encore le moyen d’être excitée par mon petit pervers de frère qui vient essayer de me sauter sous la douche comme si j’étais sa pute. Je rejette cette pensée loin de mon esprit. Tout ceci est mal. Je me débats, je cherche à échapper à ses caresses, mais il insiste. Lorsqu’une de ses mains atteint ma chatte, plusieurs des mes barrières tombent. Je me fais doigter par mon frère alors que j’ai le vagin rempli par le sperme d’un autre homme ; et, au fond de moi, j’aime ça. J’ai envie qu’il continue mais ma fierté, plus que ma décence, m’interdit de le lui faire savoir, et encore moins de le lui dire. Alors je continue de lui dire non, à faire des gestes pour l’éloigner de moi, en priant pour que cela ne l’arrête pas. — Tu ne peux pas faire ça, Julien, je suis ta sœur ! J’ai un petit copain ! Il est juste à côté, en plus. — C’est ta faute ! aboie-t-il. Tu crois que je ne me suis pas rendu compte de ton petit manège ? Tu crois que je n’ai pas compris que tu faisais exprès de crier fort pour m’allumer ? Bah, c’est réussi ! Je suis au bout de mes limites, Natasha. Ces derniers mois ont été une torture pour moi. Je n’en peux plus, j’ai besoin de te baiser. Je te VEUX ! Sur ces mots, il me plaque contre la vitrine, empoigne son sexe et me fourre d’un trait. Cela me fait frémir. Je ne me débats plus. Je le laisse me prendre comme il en a envie. Je suis à lui. Je proteste juste un peu pour ne pas me montrer totalement vaincue : — Je suis ta ...
    ... sœur, c’est mal… — Ose me dire que tu n’en as pas envie ! — Je ne veux pas ! — Tu n’es qu’une menteuse ! Tout ton corps me dit le contraire ! Il est honnête, lui, au moins ! Tu n’es qu’une salope qui s’amuse à allumer son frère, et tu vas enfin avoir ce que tu mérites ! Je n’attends que ça, les seins pressés contre le verre. Il me lime comme un animal en manque. Je peux sentir dans sa fougue toute la frustration qu’il a accumulée depuis la Saint-Valentin. À vrai dire, je suis même plutôt surprise qu’il ait attendu aussi longtemps avant de craquer. — Julien, je suis encore pleine de foutre de Pascal, fais-je plus pour partager mon excitation de ce fait pervers que pour lui donner une raison de tout stopper. — Rien à battre ! Quand j’en aurais terminé, j’y ajouterai le mien ! Cette pensée me fait mouiller. Sa queue qui me transperce la chair me fait un bien fou. J’ai envie d’elle et de la sentir juter au fond de moi. Je suis une nouvelle fois surprise de voir avec quelle virilité il me prend, lui qui est tout maigre et chétif, et généralement plutôt timide. Je me dis que cela doit être le résultat de l’effet que je lui fais, et cela m’excite autant que cela me flatte. Il me tient par les hanches et me donne de violents coups de boutoir. Il me décolle de la vitre pour pouvoir jouer avec mes seins. Je sais à quel point il les adore. Il les pétrit et me les masse. Je ne peux plus retenir mes gémissements. Il me tient contre lui. Il m’embrasse l’épaule et le cou, puis me chuchote ...
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