Je fantasme sur ma soeur (2)
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
Hétéro
... des choses : — Je t’aime, Natasha… Je te veux pour moi, rien qu’à moi ! Je ne supporte pas te de voir avec quelqu’un d’autre. Pourquoi me fais-tu du mal comme ça ? Son aveu me surprend et me touche. Le pense-t-il vraiment ? Ou croit-il seulement le penser ? — Je suis ta sœur ! — Je m’en fous ! Je t’aime ! Je veux que tu sois mienne ! Je ne suis pas sûre que cet « amour » soit vraiment partagé, mais sur le moment je suis séduite par l’idée de lui appartenir et qu’il puisse surgir de nulle part pour venir me sauter quand il en a envie. — Alors fais-moi tienne, dis-je. Ce consentement de ma part doit déclencher chez lui une explosion d’émotions. Il me retourne face à lui et m’embrasse à pleine bouche. Je perds la tête, et je lui rends son baiser. Il descend pour m’empoigner les seins et me sucer les tétons. Le petit salaud… Je suis extrêmement sensible à cet endroit. Je frémis. Il a une façon de me caresser et d’embrasser mon corps qui me fait sentir belle. Je peux sentir à quel point il a faim de moi, qu’il a besoin de me toucher, de ma chaleur. Pour la fille complexée que je suis, c’est incroyablement enivrant. Certes, j’ai déjà eu pas mal de petits copains, mais en général je ne suis plutôt qu’une paire de nibards et une chatte. Lui, il sait me faire comprendre que mes rondeurs l’excitent. Alors je le laisse profiter de moi et m’explorer à sa guise, à son rythme. Chacun de ses attouchements me fait frissonner. Son désir attise le mien, et je me laisse aller. Le monde n’est ...
... plus réduit qu’à lui, à moi, et à cette cabine de douche. Je prends sa tête entre mes mains et je l’embrasse avec la langue. Ce n’est plus la peine de le cacher, maintenant : il sait que j’ai envie de lui, et moi aussi je le sais dorénavant. J’ai envie de le rendre fou. De le faire mien. De m’assurer de rester l’objet de tous ses fantasmes. Alors je m’agenouille et commence à lui faire une fellation sans qu’il n’ait à me le demander. J’aime sucer une bite, la sentir dure rien que pour moi, entendre les gémissements de mon partenaire et sentir son désir grandir sous mes coups de langue. En plus, il en a une belle. Suffisamment longue, et pas trop grosse. Je le pompe avec tout mon savoir. Il semble apprécier. Il est mon prisonnier autant que j’étais la sienne peu auparavant. Tant qu’il est dans ma bouche, je peux en faire ce que je veux. — Aaah, Natasha, c’est si bon ! Ça m’a tellement manqué… me confie-t-il en soupirant. Je baisse une main sur ma chatte et me mets à me caresser. Cela nous excite tous les deux. J’entends son souffle devenir de plus en plus court. Je pourrais le faire fondre tout de suite et tout avaler avec plaisir, mais ce n’est pas mon but : je veux le pousser à me prendre, fort, comme une brute. Je l’ai chargé comme une bombe à retardement, et je décide de la faire exploser. J’arrête tout, et l’expulse de ma bouche. Je lis dans ses yeux que cette soudaine sensation de vide autour de sa queue le rend fou. Il a désespérément besoin de planter son dard en moi. ...