1. Ma soeur Faten 2


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... rire ! »Je lui fais signe de la main, non.Je ne pouvais pas lui raconter l'incident, maintenant, à l'âge adulte.« Je t'en prie, raconte-mo, ça fait longtemps que je n'ai pas ri de bon cœur !Et, ne s'arrêtant pas aux paroles, elle s'était approchée de moi, me serrant fortement les mains, m'embrassant sur la joue.– OK, OK, je vais te raconter, mais... !– Il n'y a pas de mais, raconte... !– Bien, voilà, un soir, nous dînions ensemble, toi, moi, ma petite sœur et les parents, j'avais pété et ça avait fait un grand bruit, mon salut, ce fut ma petite sœur qui t'avait désignée du doigt comme la coupable et moi, j'ai enfoncé le clou en me bouchant les narines en te visant, ce qui avait fait de toi, la coupable ! Mon père, sans attendre que tu dises quoi que ce soit, t'ordonna de quitter la table !- Malpolie, tu as voulu te justifier, ma mère en rajouta :– Et tu as le culot d'ouvrir ta bouche, dehors ! Tu es sortie en pleurant.– Ah bon, c'est ça qui te fait rire ? Elle me regarda, les mains sur ses hanches, passa devant moi, dans cuisine.- Je vais te punir, tu laveras la vaisselle pour m'avoir culpabilisée pour une faute que je n'avais pas commise ! »Je lui fis signe par un oui de la tête. J'entrai en premier, il n'y avait rien de particulier dans cette cuisine, c'était aussi sinistre que le reste de la maison, mais pour lui faire plaisir, j'ai dit que c'était bien et c'est vers la fenêtre que je me suis placé pour regarder dehors. J'ai senti son souffle dans la nuque avant qu'elle ne ...
    ... me dise :« D'ici, on a une belle vue de la ville, c'est mon coin préféré pour méditer ! » Me dit-elle.Puis, elle a posé son bras autour de mon cou et c'est la moitié de son corps qui était collé à moi, j'étais très, très gêné. Elle commença à parler du passé, de l'avenir. Je ne l'écoutais pas, sa poitrine sur mon bras et la partie de son corps sur mon postérieur.« Mais c'est dommage... ! » Dit-elle.Pourtant, elle avait l'air très calme, je me suis dit : « heureusement ! ». Nous discutâmes un peu de ses projets pour la cuisine, retaper le plafond, reculer le mur. Puis, elle me prit la main et me dit : « suis-moi, laisse tomber la vaisselle, je m'en chargerai plus tard ! ». Nous passâmes dans sa chambre.et là, je tombai des nues. La chambre ressemblait à celle des mille et une nuits. Un grand lit et tout autour lit de la princesse et contre les murs, des tapis persans et des canapés couverts de tissu comme des tapis, c'était très beau à voir. Pas de garde-robe, ni de table de chevet, rien. Sans hésiter, je dis que ces fanatiques ne vivent que pour le sexe. Elle ne m'a pas laissé sur ma faim, elle m'a donné la réponse tout de suite. Un décor de rêve, mais c'est dommage. Elle quitte en premier, je suis resté à admirer cette chambre, puis je me souviens de ce qu'elle m'a dit : « à quoi bon ? ».Qu'est-ce qu'elle voulait dire ? C'était la énième fois qu'elle disait : « c'est dommage ? ». Aurais-je dû lui poser la question ?Je retournai au salon, je m'allongeai sur un matelas, l'air ...
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