Pilgrims of Mars
Datte: 28/07/2021,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
dispute,
Oral
pénétratio,
sf,
... jamais compris l’ironie de la chose, elle était trop… américaine. Mais cela ne les avait pas empêchés de s’aimer du plus profond de leurs êtres. Les premières frictions étaient venues avec cette mission vers Mars. La Terre était malade et les humains trop nombreux. Pour Béryl c’était la sauvegarde de l’humanité qui était en jeu. Mais pour Alexandre c’était juste une fuite en avant qui ne ferait que retarder de quelques siècles tout au plus l’échéance fatale. Bien sûr, il avait joué le jeu, mais il ne voulait pas pour autant sacrifier sa vie personnelle. Tout le contraire de Béryl. Petit à petit, sournoisement, l’idée que son couple ne survivrait pas à Mars germa dans son esprit, puis finit par prendre de telles proportions que ce fut une évidence. Il ne pouvait pas en parler à sa femme puisque cela aurait réduit le champ des possibilités au dilemme « Mars ou moi ». Dans les deux cas il la perdait. Mais, tout n’était pas noir pour autant, il y avait les autres membres de la mission. Ses collègues géologues tout d’abord qui, comme lui, étaient impatients de découvrir les mystères géologiques de Mars. Mais il y avait aussi le personnel navigant ; les scientifiques de tout bord : biologistes, astrophysiciens, archéologues et bien d’autres disciplines qui l’émerveillaient ; il y avait des informaticiens, des ingénieurs ; mais aussi des corps de métier plus « terre à terre » comme des mécaniciens, des spécialistes en construction comme des plombiers, des maçons, même des ébénistes ...
... même si, point de vue bois, Mars était plutôt pauvre ; il y avait encore des alpinistes et autres aventuriers de l’extrême de tout poil. Et puis il y avait des psychologues pour que tout ce petit monde puisse vivre ensemble dans un monde hostile sans se taper dessus à tout bout de champ. C’est ainsi qu’il avait fait la connaissance de Camille. — Je n’aime pas ce que nous avons fait. La phrase lâchée dans le silence de la cabine le ramena à la réalité. — Quoi ? Tu n’aimes pas faire l’amour avec moi ? répondit-il en lançant sa main vers le sud, abandonnant les deux collines qu’il explorait avec tant de délice pour suivre les réseaux des muscles du ventre.— Si, bien sûr que si, mais nous faisons souffrir Béryl et Dominique et ce n’est pas bien.— Ne t’inquiète pas, je sais qu’elle va trouver une solution pour qu’ils souffrent le moins possible de cette situation. Tout en parlant, sa main arrivait maintenant à l’orée de la toison qui couvrait le mont de vénus. Les poils drus chatouillèrent ses doigts puis sa paume tandis qu’il partait à la découverte des grandes lèvres mouillées de leurs sécrétions mutuelles. La découverte du clitoris fut accompagné par un soupir de plaisir de Camille. — Je te parle sérieusement et toi tu… haaa…— Ça ne te plaît pas ? dit-il en faisant rentrer un doigt dans son sexe.— Si, mais…— Chut, profite, laisse-toi aller, souffla-t-il avant de mordiller le mamelon de son sein droit. Son sexe commençait à reprendre de la vigueur,« jamais ça ne m’était arrivé ...