-
Des bulles et un savon...
Datte: 29/07/2021, Catégories: jeunes, vacances, piscine, chantage, Masturbation nopéné,
Résumé : Après avoir fait connaissance de la famille Trent, et étudié l’intimité des parents, Tiphaine se lance à la découverte de leur fils Charles. *** Ma conversation avec Bruce a duré un peu plus longtemps que prévu… Le pauvre trognon s’ennuie ferme à Paname. Enfin… C’est ce qu’il dit. Mais comme de mon côté je lui raconte la même chose ! Si je n’ai pas passé sous silence la présence de Charles, je l’ai décrit comme un adolescent boutonneux et ennuyeux… Pas du tout mon style ! La description de mon colocataire a l’air de le rassurer… Quand il me demande si je me suis caressée en pensant à lui depuis mon départ, je crois bon de ne pas trop m’avancer sur ce territoire brûlant et je le rassure sur mes sentiments en lui souhaitant de beaux rêves. De son côté, il souhaite que les miens soient « très érotiques » avant de raccrocher, un peu dépité. S’il savait ce que j’ai en tête le pauvre minou… De toute façon je l’ai assuré de mes sentiments, pas de ma fidélité… J’ai retrouvé Charles macérant depuis un moment déjà dans le bouillonnement du jacuzzi. Il a eu la bonne d’idée d’amener une bouteille de champagne dans son seau de glace, et son Ipod qui diffuse du Buddha Bar en sourdine, via l’équipement audio de la pièce… Le boutonneux qu’il n’est pas, vient de marquer un point ! J’adore le champagne… Ça me change agréablement des Coca Light de Bruce au Macdo du coin. Idem pour la musique du Buddha Bar qui est un de mes endroits favoris lors de mes périples nocturnes. Mais de là ...
... à ce qu’il se passe quelque chose entre nous… La pièce est superbe comme tout le reste du chalet. Elle jouxte une salle de gym superbement équipée et le sauna que j’ai déjà visité la veille… Le jacuzzi peut facilement accueillir dix personnes. Il affleure d’un sol gris profond en granit poli et il faut descendre deux marches larges pour rentrer dans l’eau bouillonnante. Il est planté en plein milieu de cette pièce dont les formes octogonales sont entièrement peintes à la main d’une fresque en trompe l’œil de signature néo-orientaliste représentant des femmes aux poses lascives dans les jardins luxuriants d’un harem de l’Empire Ottoman. Certaines de ses beautés callipyges fument le narguilé, mollement étendues sur des coussins brodés d’or, d’autres s’amusent nues dans un grand bassin de pierre planté de nénuphars et de jacinthes. J’en vois même trois qui se font des papouilles sur un lit bas tendu de draperies multicolores ; pendant qu’à leurs côtés, un eunuque d’un noir d’ébène, vêtu simplement d’un pagne cramoisi et de lourds bracelets d’esclave, rafraîchit leurs jeux saphiques d’un long éventail planté de plumes d’autruche. Des sources de lumière invisibles baignent l’endroit d’une tonalité orangée ; et comble de luxe, des effluves vanillés sortis d’on ne sait où viennent agréablement masquer les odeurs chlorées qui se dégagent de l’eau chaude. Ayant l’impression de venir prendre ma place au milieu de ce tableau aux vertus érotiques, je laisse tomber mon peignoir avant de ...