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Des bulles et un savon...
Datte: 29/07/2021, Catégories: jeunes, vacances, piscine, chantage, Masturbation nopéné,
... rejoindre Charles d’un pas étudié dans l’eau presque chaude à force d’être tiède. Il me mange des yeux… Je porte un maillot noir une pièce, très fin et très moulant, qui laisse mon dos ouvert jusqu’aux fesses et épouse la forme de mes seins comme une seconde peau. L’uniformité lisse de cette membrane à la hauteur du pubis délivre sans fard à mon nouvel admirateur un de mes petits secrets… Je suis entièrement épilée ! Il a l’air d’apprécier ce qu’il voit. Ce qui m’évite d’avoir à m’excuser de mon retard… L’air de rien, je le mate moi aussi pendant qu’il sert le champagne… Son corps est la copie conforme de celui de son père. Un torse quasiment imberbe aux pectoraux impressionnants et aux épaules larges. Des jambes musclées montées sur des attaches fines… Pas mal du tout ! Et largement assez pour me donner quelques idées. Il porte un large bermuda de surf, et je me demande avec une certaine émotion si son sexe ressemble aussi à celui de son père… Allongés l’un à côté de l’autre nous sirotons la boisson ambrée en discutant de choses et d’autres. La multitude de bulles tièdes qui explosent en vagues soyeuses contre mon corps ont fait naître dans tous mes muscles meurtris par la journée de ski une sensation de bien-être intense que l’effet de l’alcool amplifie encore. La conversation s’est tarie toute seule après avoir commenté un moment la fresque qui nous entoure… Je lui fais remarquer l’impression d’érotisme alangui qui s’échappe de ce tableau. Il en convient facilement et ...
... fait une ou deux plaisanteries grivoises qui me font rire. En conclusion et avant de sombrer dans des pensées plus personnelles, nous nous accordons pour conclure que l’ancien propriétaire n’avait pas créé cet endroit pour qu’on s’y ennuie devant des murs nus, mais dans un dessein plus sensuel… Et la tension est montée d’un cran dans le jacuzzi. Les yeux mi-clos, la tête appuyée sur un coussinet, je laisse mon corps flotter en apesanteur dans les remous en écoutant la musique. Mes pensées fonctionnent un petit peu au ralenti, mais je suis assez consciente pour me rendre compte qu’il me faut prendre une décision sur la suite que je veux donner à cette baignade que je pressens de moins en moins innocente. Toute à ma rêverie, j’ai légèrement ouvert les jambes, et je sens la délicieuse caresse d’un jet d’eau tiède en dessous de moi qui vient s’écraser mollement contre la fine membrane du maillot entre mes cuisses. C’est suffisant pour que les terminaisons nerveuses de mon corps s’éveillent à nouveau. Charles flotte lui aussi, allongé sur ma gauche, les yeux fermés, un bras étendu derrière ma tête sur le rebord du jacuzzi. Malgré cette proximité, nos corps ne se sont encore touchés à aucun moment et sous le prétexte d’un remous, je sens sa jambe venir s’appuyer doucement contre la mienne et y rester. J’ai très envie qu’il me touche ! Mais il serait déraisonnable de lui laisser penser qu’il peut s’emballer la fille unique de ses hôtes le premier soir… Non pas que cela dérange ma ...