1. Anne au Congo


    Datte: 29/07/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... clairière où il la posa sur l'herbe. Il vint près d'elle et tendrement il la caressa. Elle frissonna de sentir ses mains sur elle et le désir monta dans tout son corps. Il n'eut aucun mal pour la défaire de ses aillons et tout deux roulèrent sur le sol frais qui les accueillit. Après ces préliminaires, le noir entrepris de la prendre, Anne l'aida de toutes les possibilités de son corps, s'offrant à celui à qui elle devait la vie sauve. Elle serra les dents en sentant son membre chercher l'ouverture de sa fente et se cabra quand son gland ouvrit ses chairs sensibles et encore endolories de la séance précédente. Il sentit la réticence de sa partenaire et il fut doux avec elle, il mit longtemps à la pénétrer. Comme la première fois, ses gestes furent emprunts de prudence et il fit preuve d'une réelle passion pour Anne. Elle fut rassurée et se détendit, le membre démesuré entra en elle et ils firent l'amour passionnément. Anne s'agrippait à lui, griffant son dos de ses ongles, tendant ses reins vers le désir de ce membre qui la prenait toute entière. Elle sentit ses seins durs et enflés tant elle était chaude et offerte. Elle commença à gémir sous lui chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, tiraillant son ventre mais la douleur était délicieuse, s'offrant davantage, elle participa, ondulant des reins, mouvant ses hanches, facilitant l'entrée de ce pieu de chair sombre qui avait fini par faire son chemin en elle. Elle eut un plaisir fabuleux, jouissant trois fois avant que ...
    ... lui-même ne vienne au terme de son extase. Quand il fut près à jouir, il accéléra le rythme, tirant une plainte continue à sa partenaire dont le corps se tordait sous lui. Elle hurla son plaisir tout en participant de son sexe et de ses reins, ouvrant ses cuisses au désir si masculin du mandingue qui haletait au dessus d'elle et qui finit en un grognement animal suivi d'un feu d'artifice de spasmes qui mit son ventre en feu. Pendant de longues secondes le corps de bronze fut parcouru de frissons et ses reins eurent des secousses en saccades puissantes qui chaque fois faisaient gémir Anne. Enfin il se calma et haletant il la regarda appuyé sur ses coudes. Il y avait quelque chose de douloureux dans ce regard si intense qui semblait la boire. Le souffle court il lui dit enfin : " Je vais te conduire à l'ambassade, tu retrouveras ton mari, mais je veux que tu saches que jamais je ne pourrai t'oublier! " Anne le fixait également, entre nostalgie et extase, son corps et son cœur balançaient encore. Elle aurait voulu que cette seconde perdure et se prolonge vers une nuit infinie et douce. " Comment t'appelles tu? " demanda t elle. " Antonin, rappelles toi, Antonin! " Ils restèrent soudés l'un à l'autre un long moment, ne voulant pas rompre cette félicité et seule l'aube et ses premières lueurs ramena un peu d'ordre dans leurs têtes qui tournaient encore. Le mandingue bougea un peu, elle eut cette grimace de douleur intime et il se retira lentement d'elle, à regret. Quand il fut debout, il ...