L'écolière - Histoires de Sexe

L'écolière

... avec un sourire appuyé, me faisant savoir qu’elle a compris que je regarde sous la jupe d’Émilie. La soirée suit son court, nous discutons, faisons connaissance, mais chose curieuse, Émilie reste très distante, sans être néanmoins chaleureuse. Pour ma part, j’attends avec impatience le show suivant pour, je l’espère, pouvoir encore regarder l’entrecuisse de notre convive. Soudain les feux se rallument et de nouveau, je profite du spectacle. Décidément, le tissu du slip moule étroitement sa motte bombée, épousant les bourrelets de sa chatte, s’enfonçant même légèrement dans sa fente. Émilie continue à regarder le spectacle, un show lesbien entre deux actrices de porno. En même temps, elle met sa main sous sa jupe après s’être rapprochée du bord du canapé. Elle soulève une fesse et se déplace légèrement sur le côté. Elle tire sur sa culotte pour l’écarter de son sexe. La bande de tissu glisse, laissant échapper un de ses lèvres vaginales. Le bout de chair rose ressemble à un morceau d’escalope. Sa face externe est parsemée de duvet blond, alors que la partie interne, complètement dépourvue de poils, luit faiblement, Émilie mouille. Quelques secondes plus tard, elle se rajuste, le spectacle se termine. La soirée bat son plein, dans la pénombre on distingue quelques couples hétéros ou homos qui réduisent leur intimité au minimum. Tout d’un coup, Émilie s’excuse, se lève, et prend la direction des toilettes. Vanessa veut la suivre mais je l’en empêche, mieux vaut laisser mûrir le ...

... fruit ! Cependant nous sommes maintenant sûres qu’elle s’exhibe volontairement. A peine revenue, Émilie reprend la même position, les fesses au bord du canapé, les cuisses écartées, mais un peu mieux placée, plus dans l’axe d’une lumière… Ma gorge se noue quand je me rends compte que sa chatte est nue. Cette petite salope a enlevé son slip ! Aucun doute, elle fait çà pour m’exciter. Pourtant, elle conserve une attitude détachée, bavardant de choses et d’autres, plus avec Vanessa mais de temps en temps, je dois quitter son entrecuisse pour prêter attention à la conversation. Sa toison est clairsemée : ses poils forment un triangle parfait sur son mont de Vénus et descendent en entourant sa chatte pour aller se perdre dans la naissance de sa raie fessière. Ses lèvres vaginales, grasses et roses, très développées, font penser à un papillon de chair aux ailes déployées. L’une de ses lèvres est plus longue que l’autre. L’entaille de chair baille, laissant voir le trou sombre du con. Les nymphes se rejoignent vers le haut en un capuchon d’où saille le clitoris. Jamais encore une fille ne s’est montrée à moi de façon aussi obscène dans un lieu public. Ayant terminé son verre, Émilie le pose sur la table et se rejette sur le dossier du canapé. Dans cette nouvelle position, ses fesses ont basculé en avant. J’aperçois le haut de sa raie où s’emmêlent quelques poils plus sombres que ceux de sa toison. Sa chatte baille davantage, je vois l’orifice de son minou entre les replis de chair. ...