1. L'écolière


    Datte: 29/07/2021, Catégories: ffh, jeunes, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse,

    ... Le ventre et les cuisses d’Émilie se contractent ; sa chatte s’épanouit comme un gros fruit trop mûr qui éclate au soleil. Cette petite salope pousse pour faire sortir sa viande. Je vois apparaître les muqueuses du minou, qui ont un aspect rose et brillant. Au-dessus de l’entaille, la languette du clitoris a grossi et pointe hors de sa gangue de chair. Elle demeure dans la même pose, adossée au canapé, le ventre en avant. Lorsqu’un nouveau show commence, c’est toute sa fourche qui se trouve illuminée. La plaie de son sexe me parait de plus en plus brillante ; de grosses larmes de mouille suintent du con d’Émilie. Elles coulent le long des replis de chair, les lubrifiant avant de disparaître dans la raie sombre. L’exhibition a duré toute la soirée, entrecoupée de danses, de verres, etc…. Soudain le DJ annonce la dernière, et Émilie regarde sa montre me ramenant à la réalité. Elle se redresse et referme les cuisses. Il est l’heure de rentrer. Vanessa propose alors à Émilie de venir boire un dernier verre chez nous. Nos regards se croisent. Celui d’Émilie n’exprime aucune émotion ; son visage est impassible comme s’il ne s’était rien passé, cependant elle accepte la proposition de Vanessa et ma copine m’adresse un clin d’œil enchanté. Il est trois heures et demie du matin, et le retour s’effectue très vite, les rues sont désertes. Derrière Vanessa et Émilie discutent toutes les deux, mais le ton de notre nouvelle amie me semble étrange, par ses intonations elle garde une ...
    ... certaine distance, comme si elle n’osait ou ne voulait pas franchir une barrière, celle de l’égalité entre elle et nous. Plongé dans ces considérations, nous arrivons à la maison. Nous rentrons et nous nous installons dans le salon. Je me rends à la cuisine afin de préparer trois verres de tequila Sunrise assez secs. Je reviens dans le salon, Vanessa et Émilie parlent de cinéma, assises sur un canapé. Elles n’ont pas l’air très à l’aise. Émilie objecte qu’elle préfère un jus de fruit mais je lui tends son verre : — «Allons, tu vas trinquer avec nous. Ce n’est pas très fort.» N’osant refuser, elle prend le verre et le sirote, assise au bord du sofa, les cuisses serrées. Vanessa lui jette de fréquents regards. Nous ne savons pas trop quoi dire. Pour nous donner une contenance, nous buvons et grignotons quelques cacahuètes. Je remplis les verres à nouveau, plus serrés cette fois. Je pense que cela aidera. Déjà, les yeux de Vanessa brillent, et elle devient plus loquace. Elle parle d’un film qui l’a beaucoup amusée. Quant à Émilie, elle garde le silence, mais je vois que l’alcool commence à lui faire de l’effet. Malgré ses protestations, je la ressers. J’en profite pour m’asseoir à côté d’elle et je l’oblige à tout boire. Durant le trajet, tout à l’heure, je me suis laissé à penser que peut-être Émilie est du genre «soumise» et que la forcer peut lui plaire. C’est ce que je m’efforce de réaliser maintenant. Je mets la main sur son genou, et elle ne dit rien. Elle s’affale contre le ...
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