L'écolière - Histoires de Sexe

L'écolière

... d’écrire, Émilie attend la suite en suçant le capuchon de son stylo d’une façon assez obscène, en arrondissant ses lèvres autour du bout en plastique. Son visage est rouge, à cause de l’alcool. Quand Vanessa annonce la fin de la dictée, elle conserve sa pose impudique. Vanessa s’assied à ses côtés pour corriger le devoir. D’un coup de crayon rouge, elle souligne les fautes d’orthographe que, vu leur nombre, Émilie a fait exprès de faire. — «Ce n’est pas fameux, regarde çà, plus d’une quinzaine de fautes sur un texte si court !» Dans une des plantes du salon, je prends un tuteur en bois que je tends à Vanessa en lui disant d’une voix ferme : — «Cette petite mérite une punition. Un coup par faute.» Émilie baisse la tête, cachant son visage derrière ses cheveux blonds. — «Vous allez me punir, madame?» Sans même attendre la réponse, elle se couche en travers de la table, jupe troussée, pour présenter ses fesses à Vanessa. Cette dernière me regarde, interloquée, et j’ai l’impression qu’elle va tout flanquer par terre. Je lui prends le poignet pour abattre le tuteur sur le cul d’Émilie. Dans le même temps, je lui susurre : — « Vas-y, n’aie pas peur, c’est un jeu. Elle ne demande pas mieux.» Vanessa secoue la tête : — « Mais je vais lui faire mal.» Je lui reprends le tuteur : — «Alors, fais-le à la main.» Émilie attend sans bouger, offrant ses petites fesses blanches. Vanessa se décide d’un seul coup. Sa main claque sur le derrière, timidement d’abord, puis de plus en plus ...

... fort. Émilie ne se plaint pas, au contraire, elle cambre les reins pour tendre ses fesses qui s’écartent, laissant voir le trou serré de son anus. Encouragée par sa docilité, Vanessa augmente la cadence de ses coups. Je passe la main entre ses cuisses pour achever de lui faire perdre la tête. Sa chatte est trempée, je commence à la masturber. De ma main libre, je sors ma bite en érection. Vanessa ne fait pas attention à moi. Son regard est braqué entre les fesses qu’elle frappe alternativement. Je fais coulisser mes doigts joints dans sa chatte. Cramponnée à la table, Émilie encaisse les coups en poussant des plaintes étouffées. Son cul rougit, mais elle continue à le lever vers Vanessa. Sa raie fessière est ouverte, et, en dessous, on voit les bourrelets roses de sa chatte parmi ses poils. De temps en temps, je sors mes doigts de la chatte de Vanessa pour lui branler le clitoris. Elle est très excitée à présent, et écarte largement les cuisses. Ses yeux brillent d’un éclat fiévreux et la sueur perle à son front. Ses coups s’espacent et sa main s’attarde sur le postérieur de son «élève». Je lui murmure : — «Touche-la». Elle empaume les fesses d’Émilie et les pétrit en effectuant un mouvement circulaire. Chaque fois qu’elle les écarte, l’anus de la jeune fille baille, comme une petite bouche charnue. La mouille dégorge du sexe de Vanessa, coulant dans ma main. Elle respire avec force ? Je sens qu’elle meurt d’envie de continuer, d’aller plus loin. — «Touche plus bas, entre les ...