1. Reviens ce soir, je serai seule...


    Datte: 30/07/2021, Catégories: fh, jeunes, piscine, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init,

    ... du globe, celui plus rugueux et plus frémissant de l’aréole, celui plus vivant des mamelons. Je les agace entre mes doigts, du bout des lèvres, de la langue… Je descends vers la taille, le ventre. Je bute sur le haut du slip. Je suis le contour du tissu, jusqu’aux hanches largement découvertes, ma main descend vers les cuisses, jusqu’au genou, remonte vers l’intérieur, jusqu’à l’aine, effleure le renflement en haut de ses cuisses encore serrées, remonte par-dessus le tissu jusqu’au ventre, taquine le nombril. Je me mets à califourchon au-dessus de ses cuisses, empaume ses seins, remonte vers le cou et le visage, redescends sur les épaules, les seins encore. Je me penche pour les baiser encore, puis le nombril et le ventre. Je me redresse, entreprends de faire glisser son maillot, tout doucement, centimètre par centimètre. Je vais découvrir son ventre, son bas-ventre, jusqu’en bas du petit triangle de poils. Je suis fasciné. Son ventre et son torse nu s’offrent à moi, triomphe de féminité. Je la fais se retourner à plat ventre, et je baisse son slip, découvrant les petites fossettes de part et d’autre du bassin, puis le début du sillon, qui va s’approfondissant tandis que les fesses apparaissent, rebondies, fermes, prometteuses. Je les salue du regard, des lèvres, des mains. Ses épaules, son dos, sa taille fine, ses fesses rebondies… Elle se retourne sur le dos. Je baisse encore un peu le slip, découvrant les aines et le haut des cuisses, et maintenant j’entrevois le début de ...
    ... son sexe. J’y dépose un baiser ému, une caresse d’un doigt prudent. Je la regarde encore. La culotte enroulée à mi-cuisse a quelque chose de terriblement érotique. Mes mains caressent encore les hanches, le ventre, la toison, le haut de la petite fente, le ventre encore, la taille, les seins, le visage… Je vais faire glisser sa culotte maintenant jusqu’en bas. Elle soulève un peu le bassin en se piquant sur ses talons pour m’aider, écartant les cuisses juste ce qu’il faut pour laisser passer le tissu. Elle est maintenant complètement nue. Je regarde. Rien que pour moi. Elle est en train de m’offrir à moi. De m’abandonner ses seins, ses fesses, et tout le reste. C’est pour elle la première fois, la première fois qu’elle se livre à un regard étranger, à des caresses, à des envies, à des désirs. J’ai beau regarder, je n’arrive pas à me repaître du spectacle offert. Je me penche vers elle, lui murmure à l’oreille : — Tu es belle. Elle a enfin dégagé ses yeux, me regarde : — Tu crois ? Elle ajoute : — Et toi ? Je me suis souvent demandé quelle impression cela me ferait de me trouver nu, en érection devant une fille. Je m’imaginais mort de honte. En fait, cela m’apparaît comme une nécessité, une évidence, une impériosité. Je me relève, enlève mon maillot. Elle me regarde, pas seulement ce sexe d’homme qu’elle découvre pour la première fois, mais tout entier. Je m’agenouille près d’elle. Un bref coup d’œil sur la verge bien dressée. Elle détourne le regard, ses yeux noirs ont souri. ...
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