Reviens ce soir, je serai seule...
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
piscine,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
init,
... — Tu n’es pas mal non plus… Je me penche sur elle et, joignant les caresses à la parole, j’énonce : — J’aime tes yeux… j’aime tes oreilles… j’aime ton nez… j’aime ton cou… j’aime ton épaule… j’aime tes seins… j’aime ton ventre… j’aime ton nombril… j’aime ton petit triangle de poils… j’aime tes fesses… j’aime tes cuisses… j’aime tes jambes… j’aime tes pieds… je crois que je vais bien aimer ta petite fente…— Tais-toi ! Elle cache à nouveau son visage. Tout doucement, je prends sa cuisse pour la fléchir et l’écarter. — C’est bien ce que je disais : j’aime ta petite fente ! Elle resserre ses jambes, les croisant l’une sur l’autre. Je m’étends à côté d’elle, me tourne vers elle. Elle se tourne également, me fait face. Nos lèvres se joignent. Je caresse doucement son épaule, sa taille, ses fesses. Je descends encore, effleure ses lèvres que je sens humides. Elle replie une cuisse sur la mienne. Mes doigts ont alors libre accès à son intimité, que je découvre avec précautions : le renflement des grandes lèvres, la consistance rigolotte des petites lèvres. Mon index parcourt la longueur de la fente, risque une timide incursion dans la chaleur humide. Je découvre son petit bouton, le titille un peu. Elle a un mouvement de recul… Je bats en retraite, parcours la fente dans l’autre sens, effleure son petit trou. Nouveau recul… Je me limite à des caresses plus neutres, puis reviens à la charge vers sa vulve. Elle est de plus en plus mouillée. Je me dégage, m’assois à côté d’elle en ...
... maintenant sa cuisse bien fléchie. Elle laisse faire. Je regarde, je regarde ! Écartant délicatement ses mignonnes nymphettes, je découvre l’entrée toute rose de son vagin… Je n’en peux plus. J’écarte ses deux genoux, m’installe entre ses cuisses, m’étends sur elle. Elle noue ses bras autour de moi. Maladroitement, nerveusement, je tente une pénétration, m’empêtre, lui fais mal. — Non, pas comme ça. Je sens ses mains descendre. Elle prend ma verge et la guide vers l’entrée. Je pénètre, rencontre une résistance. Elle a un sursaut, une réaction de rejet. Elle saisit ma queue à nouveau, la présente. Je pousse, tout doucement. Elle fait ce qu’elle peut pour ne pas se crisper. Et la résistance cède. Mon sexe s’enfonce en elle. Divine sensation, de douceur, de chaleur, d’excitation. Elle ne bouge pas. Je reste très profond en elle, sans bouger non plus. Je goûte, je profite, je déguste… Je la regarde : ses mains, écartées du corps, sont crispées. Son visage détourné, les yeux fermés, attend, inquiet. Je suis désemparé. Alors elle prend ses genoux, et les écarte encore, comme pour faciliter les choses. Je me retire un peu, reviens, me retire encore, savourant la caresse tout au long de ma verge, et je reviens, doucement. Le plaisir monte. Après quelques va-et-vient tout doux, elle a un mouvement du bassin, m’agrippe les fesses comme pour me retenir en elle. Répondant à ce signal, j’accélère le mouvement. Son bassin bascule en rythme avec mes coups. Je crois qu’elle gémit doucement. ...