Business à Barcelone - 5 / 7 - Histoires de Sexe

Business à Barcelone - 5 / 7

... plus mal, car dans sa tête elle s’était déjà monté son film quant aux intentions de sa cliente préférée. Elle se serait sentie moins jalouse de trouver Isabelle au lit avec une femme… Alors quand François, sortant de sa torpeur, lui fit un petit signe amical de la main ce fut trop pour elle. Elle n’y répondit pas. Elle voulait filer d’ici, au plus vite, et fit mine de se retirer. Mais Isabelle s’interposait entre elle et la sortie, provocante et ambiguë, un billet de pourboire à la main. La fille le vit, mais ne fit pas un seul geste pour le récupérer, semblant le refuser une fois de plus. La juriste n’en comprenait toujours pas les motifs alors elle essaya de le lui glisser dans la main, sous le regard étonné François qui comptait les points. La stagiaire était visiblement gênée et leurs mains de touchèrent alors qu’Isabelle, énergiquement, insistait. Dans le feu de l’action sa serviette se détacha et glissa au sol. La fille se figea, rougit, essayant de ne pas regarder et d’avancer vers la sortie. Elles étaient face à face l’une de l’autre maintenant et elle sentit qu’on lui prenait le poignet pour mettre de force le billet froissé dans sa main. Puis qu’on lui posait une main sur sa joue, en caresse, comme avant de l’embrasser. La tension sexuelle qui se dégageait de la scène était indéniable, on sentait que la stagiaire hésitante, visiblement tentée. François toujours au lit, retenait son souffle, estomaqué par le spectacle auquel il assistait. À nouveau sous l’emprise ...

... de l’excitation il bandait ferme sous les draps, attendant la suite. Car comme beaucoup d’hommes il fantasmait sur les lesbiennes, partant du principe que deux femmes qui font l’amour ne sont rien de plus que deux femmes qui attendent un homme pour faire un trio… Décidément cette petite juriste était incroyable. Le feu au cul. Elle tire sur tout ce qui bouge. Une vraie petite salope. Qui l’eût cru… Pendant ce temps, les lèvres des deux femmes n’étaient plus qu’à quelques centimètres les unes des autres. Isabelle lâcha le poignet qu’elle tenait encore pour approcher sa seconde main du visage de la stagiaire et ferma les yeux. Cette dernière en profita pour s’enfuir, abandonnant au passage le pourboire au sol. La porte se rabattit sur elle. Dans un grand éclat de rire Isabelle se jeta sur le lit à côté de François et découvrant un coin de drap, dévoilant son sexe tendu. — Alors chéri, vas-tu oser dire que tu n’as pas aimé ? Son sourire éclatait. La main douce d’Isabelle se posa en caresse sur la belle et douce queue. — Espèce de petite… lâcha François, sans oser finir sa phrase. Puis il ajouta, une lueur lubrique dans les yeux : je vais devoir rappeler le service d’étage, elle ne nous a pas fait signer la facture ! Il composa le numéro et signala l’anomalie dans un parfait Espagnol qui lui donnait des airs de latin lover. Hmmmmm… songea sa Maîtresse, pendant qu’elle restait à ses côtés à le caresser, faussement distraite et réellement appliquée à entretenir son érection. Deux ...