1. Business à Barcelone - 5 / 7


    Datte: 30/07/2021, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, amour, cérébral, vidéox, Oral pénétratio, portrait,

    ... minutes après on sonna à la porte. Isabelle ne bougea pas et retint François au lit. — C’est ouvert ! cria-t-elle La petite stagiaire était à nouveau là, un stylo et la facture à la main. Elle était visiblement toujours troublée.Mais d’un autre côté, pensa Isabelle,elle est revenue… Elle ne nous a pas dénoncés pour incitation à la débauche, et elle n’a pas inventé de prétexte pour se faire remplacer… Pensant avoir encore une chance elle continua à jouer avec la queue de François, jetant des regards provocateur et intense à la jeune fille. Cette dernière regardait la scène scabreuse que les amants lui offraient, ou plutôt : elle jetait en permanence des coups d’œil à Isabelle, nue, ignorant totalement le sexe dressé de François et les caresses qu’elle lui faisait.Aucun doute n’était possible quant à ses penchants sexuels, pensa la Maîtresse…C’est moi qu’elle veut… François, pendant ce temps, avait signé la facture que la stagiaire lui avait tendue. Aussitôt fait, elle repartit, presque en courant. Une fois la porte refermée les amants diaboliques partirent tous deux en fou rire. — Je vois que tu es sensible au charme féminin… lui susurra François— C’est pas faux… sourit Isabelle en continuant à masturber son homme. Mais je crains bien que tu ne l’intéresses pas du tout… À ces mots, Isabelle sentit instantanément la queue de François s’activer et se cambrer dans sa main.Hé hé hé, je viens de ferrer mon homme, pensa-t-elle…Il est à moi pour la vie, il faut juste que je ne ...
    ... commette pas defatal error… Elle lâcha à François : — J’ai plus rien à me mettre… Et si on demandait qu’on transfère mes affaires ici ?— Toi, tu as encore une idée derrière la tête… lui répliqua François. Mais il obtempéra, entrant dans son jeu. Isabelle espérait bien que la petite stagiaire serait chargée de la tâche. Elle devrait alors rentrer dans sa suite, prendre ses affaires dans les placards, les plier et les mettre toutes dans sa valise, une à une. Toucher ses vêtements, sa lingerie fine, ses produits de beauté, son parfum, en un mot : rentrer dans son intimité. Elle espérait qu’alors le charme de cette expérience opérerait et finirait de la faire basculer sa cible du côté obscur de la force… Pendant ce temps ils prirent tranquillement leur petit déjeuner, nus. François tenta bien d’enfiler un caleçon, mais Isabelle le supplia de rester comme il était, et il n’avait pas eu à cœur de lui refuser son caprice. Une demi-heure plus tard, le service d’étage sonna à la porte. Isabelle, ne voulant pas faire fuir « sa stagiaire », enfila rapidement la chemise de François posée sur le fauteuil. Elle était bien trop grande pour elle, mais qu’importe ? Elle adorait le parfum qui en émanait et qui attisait à nouveau son désir. Un regard à l’œilleton confirma la présence tant désirée. Elle avait l’air d’avoir repris ses esprits, était moins pâle, et poussait un chariot sur lequel étaient posés sa valise, son sac ordinateur et un sac à linge sale. Isabelle sourit en imaginant comment la ...
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