1. Business à Barcelone - 5 / 7


    Datte: 30/07/2021, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, amour, cérébral, vidéox, Oral pénétratio, portrait,

    ... stagiaire avait dû transvaser tous ses vêtements. En avait-elle profité pour s’imprégner de son parfum, qui les imprégnait ? Ainsi que de ses odeurs corporelles ? Isabelle voulait le croire… Isabelle ouvrit la porte invitant l’employée à entrer, mais la stagiaire se contenta de poser les affaires dans l’entrebâillement. Un couple qui passait dans le couloir les regarda avec curiosité. La stagiaire lui tendit avec précipitation le papier à signer, lui laissa un double et s’empressa de disparaître dans l’ascenseur derrière le couple qui venait de l’appeler. Isabelle sentit une pointe de déception.Dommage, pensa-t-elle,je l’ai effrayée… Mais au moment de poser le reçu sur le bureau, elle y aperçut une indication manuscrite. Intriguée, elle l’examina avec attention et y lut une série de chiffres : aucun doute, il s’agissait d’un numéro de téléphone, suivi d’un horaire. Un sourire illumina son visage et elle tendit le papier à François, fière comme une élève rendant sa copie à son prof de math après avoir résolu un exercice. François le regarda et sourit : — Et voilà, tu as son numéro de téléphone et tu sais à quelle heure elle finit son service… Que comptes-tu en faire maintenant ? Décidément tu es incroyable… François devait bien le reconnaître, il n’avait jamais connu de fille comme Isabelle jusqu’à présent… Il testait son potentiel et n’était certes pas déçu, mais en plus elle avait le chic pour devancer ses désirs par des initiatives inattendues et très excitantes… Il n’était ...
    ... certainement pas au bout de ses surprises ! Après ce réveil en fanfare et les perspectives réjouissantes qu’il leur laissait entrevoir, Isabelle et François décidèrent de profiter pleinement de leur journée à Barcelone. Il fallait bien, après tout, laisser cette petite stagiaire finir son service… Et d’après le papier qu’elle leur avait laissé, ce ne serait pas avant ce soir. Isabelle chercha dans ses affaires et constata rapidement qu’en dehors de seslawyer suit, elle n’avait plus grand-chose à se mettre… Il n’y avait plus qu’un choix : la petite robe de cocktail noire, épaules nues, qu’elle avait apportée avec elle, « au cas où ». Pour la rendre moins habillée, elle la porta avec la paire de Converse qu’elle avait prise pour la salle de sport.Un look un peu à la Londonienne, pensa-t-elle avec nostalgie… Comme la robe était fine, qu’elle lui moulait bien les hanches et qu’elle ne voulait pas avoir l’air d’un boudin, c’était string invisible obligatoire. Éprise d’un soudain besoin de liberté, c’est seins nus qu’elle la porterait, décida-t-elle. Ses tétons étant très sensibles et se dressant à la moindre émotion ou courant d’air, Isabelle enfila tout de même la veste de sonlawyer suit. Car même si elle exploitait son potentiel de séductrice elle restait une bourgeoise versaillaise et ne voulait tout de même pas que le premier venu vienne la renifler. C’est pour son Homme qu’elle se faisait belle, pas pour la populace… Il fallait donc bien se cacher des regards et protéger ses ...
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