Julie8
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... corps et que mon sexe s’est libéré d’un liquide qui n’était ni de la mouille ni de l’urine. Dire que le plaisir avait été intense, je ne saurais le dire. Mais en tout cas, j’ai accueilli les spasmes comme un soulagement libérateur. J’avais les jambes flageolantes, la vue brouillée. Mais quand je me suis retournée, j’ai vu que quelques hommes nous avaient matés. Ils se tenaient silencieux à quelques mètres, certains avaient la queue raide et se branlaient placidement. J’étais rouge de honte de m’être exhibée ainsi. Quand nous avons quitté les rochers, il se sont fait discrets comme si rien ne s’était passé. Toi aussi tu es resté silencieux sur ce qui m’était arrivé. Pourtant, j’avais envie de partager mes sentiments et mes doutes. - Julie, tu es comme ça. Je le savais. Il faudra que tu fasses avec… Ensuite, sur la plage. J’ai remarqué que certains se touchaient discrètement l’entrejambe quand ils me croisaient. Je n’ai jamais compris la justification de ce geste. Peut-être est-ce simplement ma prise de conscience que j’étais un objet de convoitise et que mon attitude impudique attirait un désir. L’habitude venant, j’ai fini par décoder les différents codes sociaux sur la plage. Certains couples libérés s’exhibaient discrètement sous le regard de mateurs discrets à l’affût de gestes d’intimité. En fin d’après-midi, l’ambiance placide du début d’après midi laissait la place à des attitudes plus séductrices. Et c’est au milieu des rochers ou dans les quelques grottes que cela ...
... se passait. Souvent entre mecs. C’est comme ça que j’ai vu pour la première fois des hommes se sucer. Et franchement, je n’en ai retiré aucun plaisir simplement une curiosité et la surprise de voir l’intimité entre deux garçons. Un après midi, un couple, s’est allongé non loin de nous, une petite cinquantaine plutôt quelconque. La femme avait ce qu’on appelle un gros cul. Une chose qui, selon mes critères de femme, n’est pas franchement attirant. Je m’en suis rendu compte car en se déshabillant, je me suis rendue compte que la femme ne portait de pas de culotte alors que sa poitrine, menue par comparaison avec ses fesses était maintenue par soutien gorge assez ordinaire d’ailleurs. De manière assez naturelle le couple vivait sa vie de plagiste alternant sieste et conversation, baignade et bronzette.A un moment la femme et l’homme ont enfilé leurs sandales pour aller se promener dans les rochers. Ils ont quitté mon attention. Quelques minutes plus tard, tu m’as prise par la la main et nous aussi sommes partis en exploration vers les rochers. Je n’avais suivi ce que tu cherchais. Nous marchions main dans la main sur les cailloux. Le couple de voisin aurait dû être visible, pourtant il était comme évaporé. Entre les roches il y avait une sorte de petite grotte sombre vers laquelle tu m’as dirigée. On pouvait y tenir debout. J’avais quelque peu le coeur battant comme si on entrait dans dans une crypte. Comme quoi, même avec l’âge on peut se faire des frissons de gamine… La femme ...