Deux gouttes d'eau
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
ff,
2couples,
jeunes,
freresoeur,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Partouze / Groupe
... sortie au cinéma du film « La vérité si je mens », dans les vestiaires du lycée on pouvait entendre dire de moi « elle a les yeux qui sentent le cul ». Atout majeur avec la gent masculine. Mon autre atout maître, c’est mon corps. Merci à mes parents qui ont voulu calmer mon énergie débordante en m’inscrivant au judo. La pratique régulière de ce sport une puis plusieurs fois par semaine m’a permis de conserver une silhouette gracile, tout en développant raisonnablement ma musculature. Et les heures que je passais sur le tatami le mercredi après-midi, c’est à faire de l’équitation que ma sœur les employaient. De fait elle est plus ronde que moi, moins sèche. Plus ronde mais pas plus gironde, parce qu’à l’heure de la puberté mon développement mammaire a été plus important que le sien. En quatre ans mon corps de garçon manqué s’est vu affublé d’une imposante paire de seins, et la camarade de jeu est devenue objet de fantasme. Aujourd’hui nous partageons la même taille de bonnet, mais c’est à la faveur de son léger surpoids. Et un tel buste au-dessus d’un ventre plat attire plus facilement les regards. À partir de nos 16 ans je suis devenue l’attraction principale de notre duo. Arielle était bien moins populaire que moi et je lui refusais d’avoir les mêmes amis que moi. Quand j’étais invitée les samedis soirs, j’acceptais à la condition expresse que ma sœur ne le soit pas. Je crois qu’elle n’en a jamais rien su, ou si elle le sait ne m’en a jamais fait le reproche. Par ma faute ...
... elle acquit une réputation de rabat-joie, ce qui fit qu’elle sortait très peu. Aux premiers attouchements maladroits de mes camarades de classe, concentrés bien naturellement principalement sur ma poitrine généreuse, suivirent les premiers rapports sexuels. D’abord avec un garçon de 10 ans mon aîné rencontré en vacances, puis avec de nombreux autres partenaires. Je tombais complaisamment dans des mains plus expérimentées, voire plus perverses, des hommes souvent beaucoup plus vieux que moi, ravis de trouver une élève prête à tout accepter et jamais effrayée par l’innovation. Je développais un goût prononcé pour la bagatelle et multipliais les expériences. Mon chemin sur la quête du plaisir était invariablement jalonné par la transgression des interdits. Braver les tabous était pour moi essentiel pour atteindre la jouissance. Le sexe est pour moi autant cérébral que physique, et j’aime à pratiquer la sodomie, le triolisme ou l’exhibitionnisme. Parallèlement Arielle s’est investie tôt dans une relation sérieuse avec un « gentil garçon ». Ils avaient un groupe d’amis, passaient tous leurs week-ends ensemble, partaient en vacance en camping tous ensemble. À 19 ans, elle se comportait comme une femme mariée. Je lui reprochais sans cesse de gâcher sa jeunesse, en retour elle me reprochait d’être trop légère et de jouer avec ma santé. Elle avait quitté le nid familial dès ses 22 ans pour s’installer en appartement avec celui qui allait vraisemblablement devenir son mari puis le père ...