1. Deux gouttes d'eau


    Datte: 31/07/2021, Catégories: ff, 2couples, jeunes, freresoeur, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... se serra d’abord sur sa première phalange sous l’effet de la surprise, puis je me détendis, et elle put apprécier l’élasticité que la pratique régulière de la sodomie avait apportée à mon anus. Seul son pouce ne connut pas la chaleur de mon rectum. Impatiente, je voulais que mon sexe connaisse le même sort, je saisis sa main droite, occupée à pincer et étirer mes tétons, et la plaçai entre mes cuisses. Ma vulve était couverte de cyprine et ses doigts glissèrent sans résistance dans mon vagin. Je tenais fermement des deux mains son poignet et utilisais son bras comme un godemichet, je voulais la sentir encore plus en moi, plus profondément, plus puissamment. Je me sentais tellement excitée que j’aurais pu accueillir son corps entier dans mes orifices. J’étais au bord de l’explosion et subitement elle s’écarta de moi, levant ses mains en l’air comme si je la menaçais d’une arme. — Vanessa… Attends… Pas comme ça, balbutia-t-elle.— Quoi ? Qu’est ce qui se passe ? Ça ne te plaît pas ? demandai-je.— Si, bien sûr… Mais j’attends ça depuis tellement longtemps maintenant que j’aimerais que ça se passe dans un cadre plus excitant que la salle de bain. Excuse-moi. Sur ces mots elle attrapa une serviette et se précipita dans sa chambre. Je restai coite, frustrée de ne pas avoir atteint un orgasme qui s’annonçait intense et heureuse d’apprendre qu’Arielle partageait mon impatience quant au rapprochement que nous venions d’avoir. Je décidai alors de ne pas brusquer les choses avec elle ...
    ... et de laisser les choses se faire naturellement. Pendant les semaines qui suivirent nous prîmes soin de ne jamais évoquer cet épisode, mais nos échanges de regards et de sourires en disaient long sur le désir qui bouillait en nous, comme un volcan éteint qui tend à se réveiller. L’attente était interminable, mais la torture et sa libération font partie du plaisir. Nous étions mi-août, les vacances approchaient et je savais que l’occasion se présenterait à ce moment-là. En effet, une fois n’est pas coutume, nous avions l’intention de partir ensemble. Cela devait faire 10 ans que pareille chose ne nous était pas arrivée. Nous optâmes pour un séjour sportif semblable à celui au cours duquel elle se découvrit : une semaine de canoë et rafting dans le Val d’Allier. Dès le début du séjour l’ensemble des participants du sexe dit fort nous montra un intérêt à peine dissimulé, et les sollicitations étaient nombreuses, mais ce sont deux potes de la région lyonnaise qui eurent nos faveurs. Ils étaient plus jeunes que nous de cinq ans, très athlétiques ils se destinaient à la carrière de pompier professionnel. L’un était noir, d’origine africaine, le crâne rasé, très grand, un peu plus d’un mètre quatre-vingt-dix, et musculeux. Il dégageait une impression de force et de souplesse assez hypnotique, une véritable liane. L’autre était blanc, d’origine polonaise, un mètre quatre-vingt, très large d’épaule, un torse puissant complètement glabre, des cheveux blond foncé coupés courts. Un roc. ...
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