1. Deux gouttes d'eau


    Datte: 31/07/2021, Catégories: ff, 2couples, jeunes, freresoeur, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... tissu de son maillot. À cause de la position assise, le sommet de ce délicieux chapiteau culminait fièrement à la hauteur de ses abdominaux supérieurs, loin au-dessus de son nombril. Impossible à dissimuler ! Dans l’autre canoë, le tableau était sensiblement le même, aux différences près qu’Arielle était à présent à genoux, histoire d’exposer son fessier à un Ivory enflammé, et que celui-ci, moins timide qu’Ebony, avait soulagé son sexe en remontant la jambe droite de son short et le passant par le côté. Ses testicules et sa verge ainsi libérés palpitaient au rythme des coups de pagaie qu’il donnait dans l’eau. Nous voguions à deux de front, et les plaisanteries du début de journée laissèrent progressivement place à un silence lourd de sens. Par un accord implicite, nous étions tous à la recherche de la même chose : un méandre dans la rivière avec une plage suffisamment isolée pour mettre les canoë hors de l’eau et lâcher les fauves. Nous progressions au ralenti, et de nombreux canoéistes et kayakistes nous doublaient. Ils nous jetaient des regards éberlués quand ils passaient à notre hauteur, mais aucun d’entre nous n’y prêtait attention. Croyant avoir trouvé notre bonheur avec une plage de galets, nous avons commencé à nous rapprocher du rivage, mais au détour d’un bosquet, trois pêcheurs eurent la surprise de nous voir passer sous leurs nez. Interpellé par l’incongruité de notre caravane, l’un d’eux ne vit pas son bouchon s’enfoncé dans l’eau et laissa filer ce qui ...
    ... devait être une belle prise. Un ange passa. Non, plutôt deux belles succubes passèrent… Nous continuâmes notre chemin et les trois hommes, silencieux durant notre passage, se mirent à deviser bruyamment à notre propos. Les mots crus qu’ils employèrent contribuèrent à attiser notre désir, et c’est à quelques dizaines de mètres d’eux que nous nous arrêtâmes. Ils nous virent descendre des canoës et ôter nos gilets. Savoir qu’ils nous épiaient me rendait folle, je voulais leur donner le plus beau spectacle de leur vie. Tellement les exciter que leurs épouses nous en soient éternellement reconnaissantes. À peine sur la plage, je fus nue : Ebony chauffé à blanc tira sur l’élastique de mon maillot jusqu’à ce qu’il casse. Mes seins gonflés de désir et douloureux réclamaient ses caresses, je bombais le torse et tandis que nos langues se mêlaient, ses grandes mains vinrent les pétrir sans délicatesse. Sa maladresse trahissait son inexpérience, et j’étais heureuse de faire son éducation. J’allais jouer un peu avec lui… Je m’agenouillai, et rivant mes yeux dans les siens, je mordillai la colonne de chair prisonnière du tissu. J’empoignai son membre à travers le short et le serrai fort tout en léchant le polyester. Le traitement le rendait extatique et il était secoué de spasmes. Je passai la seconde… Tout en gardant mes yeux dans les siens, je saisis l’élastique de son short et libérai enfin son pieu turgescent. Et quel pieu ! Aux innocents les mains pleines… Il était long et épais, noir et ...
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