1. Le Fétiche (2)


    Datte: 01/08/2021, Catégories: fh, fhh, frousses, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, aventure,

    ... nos jambes s’emmêler et mon sexe tendu se presser contre son ventre. Je l’ai embrassée dans le cou, lui murmurant des mots d’amour dans le creux de l’oreille. Les mots semblaient avoir encore plus d’effet que mes caresses. Elle se serrait langoureusement contre moi, faisant glisser son pubis contre ma cuisse, écrasant par la même occasion le visage du pauvre Amasank. Elle était prête ; pour m’en assurer, j’ai glissé à mon tour un doigt dans la bouche d’Amasank — Beurk ! Je ne mange pas de ce pain là, mon maître. Les doigts de ta jeune compagne, volontiers ; mais les tiens, ne les approche plus de cette bouche ou je les dévorerai sans pitié ! Je me suis écarté et lui ai demandé de se replacer sur le dos, en relevant ses jambes et en les retenant sous les genoux. Dans cette position, je pouvais voir en gros plan le visage grimaçant d’Amasank dessiné sur son con, au milieu du tatouage magique qui lui décorait le haut des cuisses et le bas-ventre. Il me regardait de ses orbites vides dans lesquelles j’ai cru lire un regard d’angoisse à l’idée de ce que j’allais bien pouvoir faire, penché au-dessus de lui, avec ma sagaie en position de combat. Mais ce n’était pas à lui que je comptais m’attaquer, mais bien au petit orifice sombre et fripé, dissimulé par la longue natte du chasseur achuar. J’ai écarté la chevelure et fait couler quelques gouttes d’huile au cœur du petit œil sombre que je me suis appliqué à assouplir en y glissant d’abord un, puis deux doigts. Tanya a eu l’air ...
    ... d’apprécier, avançant son bassin pour aller à la rencontre de ces visiteurs inattendus. Amasank aussi d’ailleurs, dont le visage apparaissait de plus en plus clairement, un petit sourire ravi dessiné sur sa bouche vaginale. Mais il allait falloir en faire plus pour le faire sortir de sa tanière. Alors, je me suis penché jusqu’à poser le sommet de mon gland sur la fleur entrouverte. Je lui ai dit combien je l’aimais tandis que j’enfonçais lentement mon gland dans l’anneau étroit de son cul. Elle a crié, de douleur et de plaisir ; et, juste au-dessus de ma queue, Amasank a accompagné son cri d’une incantation jivaro. Agenouillée devant elle comme un orant devant sa déesse, je l’ai pénétrée de toute la longueur de mon membre, sentant les spasmes de plaisir traverser ses chairs tandis que je me glissai inexorablement dans son fourreau soyeux. Le cou et la tête ravie d’Amasank se dressaient au cœur de son sexe mais refusaient d’en sortir, malgré mes tentatives. Tout en lui ramonant la rondelle, j’ai continué à lui dire combien je l’aimais, combien j’étais fou de son corps et du plaisir qu’elle me donnait. Elle semblait être en transe, s’étirant les seins et le clitoris, dressé juste sur le front du guerrier jivaro. Je commençais à fatiguer et je ne voyais pas comment j’arriverais à défaire le maléfice et à la libérer de cet esprit venu tout droit de la jungle amazonienne. Il fallait que je provoque un choc, un sentiment nouveau, inattendu qui ferait enfin exploser cette jouissance trop ...
«12...91011...18»