Le Fétiche (2)
Datte: 01/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
frousses,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
aventure,
... enfant et, par conséquent, ce ne peut être que le nôtre, si tu le veux bien. Elle m’a sauté au cou pour m’embrasser tandis qu’une rivière de larmes coulait sur ses joues. Elle m’a entraîné dans la chambre, arrachant littéralement mes vêtements tandis que l’on gravissait l’escalier menant à l’étage. — Tu n’as pas peur que ton joli petit trou ne se referme plus ?— Je n’en fous, j’en ai trop envie. Et puis, j’ai décidé que cet hiver nous irions en Mongolie pour y ramener Bayan Hangai. Je n’ai pas envie de prendre le risque qu’il déménage dans le corps de notre enfant ! Elle m’a même permis de sortir Amasank de la boîte où je l’avais abandonné depuis plusieurs semaines. Nous nous y sommes donnés à cœur joie comme si c’était notre dernier tour sur le grand huit, notre dernière transe chamanique avec nos deux esprits, sans compter la petite étincelle qui commençait à grandir dans son ventre et qu’il me tardait d’accueillir dans notre jeune famille. Avec Amasank sur la bite, il n’était pas question de me lancer dans une nouvelle attaque à revers. Et pourtant, il n’y avait plus que cela pour apaiser Bayan Hangai. Heureusement, l’esprit jivaro était plus facile à faire craquer. C’était un esprit masculin après tout et, au cours des ces dernières semaines, j’avais pu constater tout le talent de Tanya pour venir à bout du plus persistant des hommes. C’est donc dans un inoubliable soixante-neuf, tandis que je lui dévorais la chatte en lui doigtant amoureusement le fion, que ma ...
... délicieuse épouse et sa bouche dévorante sont venues à bout de la résistance du chasseur chuar. ooOoo Deux mois plus tard, nous nous envolions pour Ulan Bator. Sans le dire à Tanya – qui aurait certainement trouvé les parfaits arguments pour me faire changer d’avis – j’avais discrètement glissé le fétiche jivaro dans ma valise en me disant qu’il pourrait peut-être nous être utile dans ce monde des esprits chamaniques que nous nous apprêtions à visiter. La mère d’Ali Khan vivait à quelques heures de route de la capitale, dans un petit village de la province de Kentii, au pied de la montagne sacrée du Burkhan Khaldun. Nous ne l’avions pas prévenue de notre arrivée ; pourtant, lorsque nous nous sommes présentés devant sa porte, elle n’a pas parue étonnée de notre visite. Elle savait ce qui nous amenait. Elle avait deviné que Tanya était enceinte le jour même où elle était redescendue seule des montagnes, et c’est à son petit-fils à venir qu’elle faisait référence lorsqu’elle lui avait dit « Il vit en toi. » La vieille chaman n’avait pourtant pas perçu la présence de Bayan Hangai dans les yeux de Tanya, et son visage s’est assombri lorsque celle-ci lui a appris que son fils lui avait non seulement transmis la vie mais avait aussi fait d’elle l’hôtesse du plus puissant des esprits chasseurs de Mongolie. — Lorsque Gayan Hangai se choisit une demeure humaine, il n’y a rien qui puisse l’en déloger si ce n’est… la mort de celle-ci. C’est probablement lui qui vous a invitée à accueillir dans ...