1. Le Fétiche (2)


    Datte: 01/08/2021, Catégories: fh, fhh, frousses, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, aventure,

    ... s’enfoncer lentement en elle. Elle ne savait pas combien de temps cela avait duré. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle n’avait jamais vécu un tel orgasme auparavant. Un orgasme comparable à ceux que nous offrent nos esprits lorsqu’ils se battent pour désigner le plus puissant des deux. Un orgasme qui l’a conduite pour la première fois au pays des esprits mongols, guidée par Ali Khan, celui qui pour la sauver avait commis le Dolig. C’est là qu’elle a rencontré pour la première fois Bayan Hangai, l’esprit protecteur du jeune chaman. Il l’a serrée dans ses bras et son corps tout entier s’est mis à rayonner comme si un feu magique brûlait entre ses jambes. Lorsque les effets de la jouissance se sont enfin apaisés, son guide était mort et son sexe dressé était encore profondément enfoncé dans le sien. Ce n’est que ces derniers jours qu’elle avait compris ce qui lui avait donné la force d’enterrer son ami sous un oboo, amas sacré de pierres et de branches érigés par les Mongols sur les tombes de leurs morts. Puis de chevaucher près de deux jours durant pour rejoindre la ville et la famille du malheureux Ali Khan. La mère l’avait regardée longuement, plongeant ses yeux noirs dans les siens, puis elle lui avait souri comme son fils lui avait souri avant de partir vers le monde du dessus. « Il vit en toi. Prends soin de lui » lui avait-elle dit le jour où elle avait entamé son voyage de retour vers l’Angleterre. — Elle a dû voir l’image de l’esprit de son fils dans mes yeux, mais à ...
    ... ce moment-là je ne le savais pas encore. Depuis ce jour et jusqu’à notre rencontre une semaine plus tôt, elle avait cherché à en apprendre davantage sur cet esprit tutélaire des Mongols qui avait habité l’âme du malheureux Ali Khan et qu’elle abritait à présent dans la sienne. — Nous ne pouvons pas les garder Reg’.— … ?— Nos esprits. Ils n’appartiennent pas à ce monde et nous n’appartenons pas au leur. Elle avait évidemment raison, mais je n’avais pas envie de renoncer aux cavalcades et aux voyages vertigineux que nous partagions lorsqu’ils nous emmenaient dans leurs parcours magiques. — Nous aurons bien le temps d’y penser quand nous rentrerons à Londres. En attendant, ils ont encore plein de choses à nous apprendre, tu ne crois pas ? Elle s’est laissé convaincre, probablement pour me faire plaisir, mais aussi sans doute pour prolonger encore un peu cette incroyable expérience que nous étions en train de vivre. ooOoo Un après-midi, alors que Tanya se baignait dans le lac devant le chalet et que dans la cuisine je retranscrivais nos notes de la veille, j’ai aperçu deux chasseurs qui se rinçaient l’œil en contemplant la jolie sirène pataugeant à quelques mètres d’eux. J’étais prêt à sortir pour alerter ma princesse et leur faire comprendre qu’elle n’était pas seule, mais je me suis ravisé. J’étais soudain excité à l’idée de voir comment elle allait réagir. J’ai saisi le corps inerte d’Amasank reposant sur la table du salon et je me suis approché discrètement de la fenêtre tout ...
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