1. Réconfort & vieilles dentelles VIII. La femme de l'aéroport (2)


    Datte: 01/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... brusque. Elle a de belles fesses ! Un fessier majestueux, avec deux hémisphères un peu mous mais oblongs mais bien bandants. Je baisse mon froc, sors ma queue. Je lèche mes doigts et vais à la rencontre de sa fente ; je caresse sa vulve entrouverte, mes doigts glissent entre ses lèvres, les humidifie, puis je prends ma queue raide et la dirige tant bien que mal vers l’orée de sa chatte. L’exercice est difficile et périlleux mais la belle dame blonde m’aide : elle se cambre, recule son bassin, cherche à venir à la rencontre de mon vit, et je finis par arriver à l’enfiler. Je la pénètre doucement mais elle pousse son cul en arrière et s’empale jusqu’à la garde avec un râle de bonheur. Je la saisis par les hanches et je me mets à la besogner à un rythme rapidement croissant. Elle a posé ses mains sur la paroi d’en face et pousse des cris rauques cadencés, à chaque coup de pine. Je bute violemment tout au fond d’elle à chaque ruade, mes couilles claquent contre ses cuisses serrées, entravées par sa culotte baissée, et notre baise en levrette ne dure pas plus d’une minute et demie. Elle pousse des cris de plus en plus puissants (je suis un peu inquiet mais le vrombissement de l’avion ne doit pas permettre d’entendre grand-chose à l’extérieur) qui finissent par faire avoir raison de moi en faisant monter mon plaisir : je pars et lui envoie de grands jets de foutre dans la chatte ; à entendre ses cris désespérés, je suis certain qu’elle jouit aussi. Je reste collé à elle quelques ...
    ... secondes, elle s’est redressée ; j’embrasse tendrement son cou, ses joues, l’angle de sa mâchoire anguleuse. Elle tourne la tête, me donne sa bouche ; je lui roule une pelle magistrale. Nos deux bouches ont du mal à se décoller. J’aime ces moments-là, comme si les partenaires se remerciaient du plaisir donné l’un à l’autre, sans avoir besoin de se parler. A ce moment-là je ne me dis pas encore que je viens de baiser une inconnue, une femme d’âge vénérable (mais qui m’excitait), et sans capote. Je reprends mes esprits, elle aussi apparemment. Nous réalisons que nous venons de baiser dans les toilettes d’un avion, à quelques mètres des passagers. Rudement gonflés. Et on dit que c’est les jeunes qui sont sans gêne. Je remonte slip et futal. J’ouvre la porte tandis qu’elle finit de se rajuster également, à la vitesse de l’éclair. Je sors, devant reculer pour laisser sortir ma complice. Il n’y a qu’une personne qui attend, une femme entre deux âges. Mais je ne vous dis pas sa tête en nous voyant sortir des chiottes. Ma blonde échevelée est très rouge et part d’un pas décidé dans le couloir pour regagner son siège. Moi j’essaie de mettre un masque d’indifférence. Mais difficile de rester impassible en tombant moins de deux mettre plus loin sur l’hôtesse éberluée, indignée, qui me fusille du regard. Le pire dans tout ça, c’est que nous n’avons même pas pissé. Il me faudra y aller avant l’atterrissage. Je me rassois, essayant de recouvrer mes esprits. Je me calme. Tant et si bien qu’à ...