Léa et Camille (1)
Datte: 01/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... m’en aperçois, mais parfois les hommes plus âgés sont plus câlins, plus doux que les jeunes. Moins impatients aussi, et j’ai surtout… besoin de douceur. — Donc c’est un râteau cinglant pour moi, si je saisis bien le sens de tes propos. — À vrai dire j’en n’en sais rien. J’ai aimé ces slows en ta compagnie. J’avoue même que quand tu m’as tripotée, j’ai senti un coup de chaleur… mais je n’ai jamais eu affaire à une autre femme. — Tu as peur ? C’est ça ? Mais je sais aussi être douce et puis pleine de surprises. Mais bon, je ne veux pas te forcer. — Je suis grande, enfin assez pour décider toute seule, j’ai simplement besoin d’un peu de temps. Tu vois, j’ai envie de goûter à cela... aussi, mais mon éducation et un reste de je ne sais quoi me donnent un sentiment de malaise, avec un corps ressemblant trop au mien. — Qui ne tente rien n’a rien ! Et puis coucher une fois avec une femme ne serait pas une infamie ni un crime. À toi de voir ma belle. J’ai juste envie de… t’embrasser ! Je peux ? — Tu veux dire… un vrai baiser ? Avec la langue ? — Tu connais peut-être une autre manière d’embrasser vraiment ? Tes joues ne me font pas d’effets, désolée de te le dire. — Tu as raison… et si tu veux, écoute, je veux bien… — Tu veux bien quoi ? — Faire un essai, c’est bien ce que tu m’as dit non ? kftkhhsn — Oui, mais comme nous parlions de baiser, j’ai cru que… D’accord alors ! Chez toi ou chez moi ? — Je préférerais dans mon univers, je m’y sentirai plus à l’aise. — Ça marche ! Je te suis, ...
... ce n’est pas trop loin ? — Non ! Vingt vingt-cinq minutes en voiture. — Banco ! Je prends mes affaires et on y va ! Attends-moi sur le parking, j’ai une Twingo bleue ! Elle est toute proche de l’entrée tu ne devrais pas avoir de peine pour la trouver. Le calme de la nuit et sa fraicheur surprennent Léa et elle cherche la voiture sur le parc. L’attente ne dure pas plus de deux minutes, sa compagne de danse arrive, un peu essoufflée. Ce n’est pas tout à fait pareil de la voir ici, loin des spots et des lumières. Mais elle reste aussi jolie bien que ses cuisses sont un peu plus fortes que ne l’aurait cru Léa. Camille malgré ce minuscule détail, est tout aussi jolie. La première chose que fait cette dernière, c’est d’enlacer Léa et elle attire la bouche de la brune, en l’a tirant doucement par le cou. Le baiser n’a rien de féminin, il est fougueux, il est avide, mais reste tendre à la fois. La langue qui joue dans le palais de la reine Léa lui coupe le souffle ! Elle fond dans les bras de sa sœur brune. Une fulgurante envie traverse le corps et l’esprit de la trop solitaire femme et elle en oublie presque que c’est une autre femme qui lui distille un infini plaisir par un pâlot de rêve. Aussi brutalement que Camille s’est emparée de la bouche de son amie, elle la relâche. — Bon, il fait friquet, allons-y sinon nous allons attraper la mort. Tu ne rouleras pas trop vite que je te suive. — Oui, et chez moi, tu rentreras ta voiture derrière la mienne, dans mon garage… — D’accord ! Et ...