Léa et Camille (1)
Datte: 01/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... partenaire. Le caraco file sur les bras, tout juste retenus par les poignets, encore serrés. C’est l’affaire d’une autre seconde pour qu’il soit roulé en boule sur le sol du salon. Puis la jupe vient rejoindre le chiffon qui fait tache sur la moquette. C’est un jeu d’enfant que de tirer vers le bas le triangle aux couleurs des deux bonnets qui alourdit un peu plus le tas. Léa est nue, face à cette femme qui frôle son corps à la chair de poule bien visible. Alors, Camille la pousse vers le sofa. Quand l’arrière des genoux se trouve acculé à l’assise, il ne reste plus qu’à donner une chiquenaude à la brune qui s’écroule sur les coussins. C’est ce moment que choisit la langue de l’affamée pour entrer en contact avec la peau un peu salée de la nymphe assise. Elle débute par le cou, pour se lover ensuite entre les deux seins, qui haussent la tête. L’aréole brune semble prendre de la largeur, les tétons se rebiffent. Léa souffle fort alors que la baveuse rose poursuit son circuit d’introspection vers le nombril. Les bras de la femme câlinée ne savent plus quoi faire et encore moins les mains qui les terminent. L’air s’est réchauffé de quelques degrés et l’atmosphère est électrique, mais la lécheuse ne veut pas se contenter de cette plage et du beau cratère qui en orne son centre. Après en avoir savouré le pourtour, elle repart vers un entrecuisse d’où émerge une touffe de poils sombres, luisants et terriblement attirants. Malgré la concentration extrême dont ne se départit pas ...
... Camille, elle trouve le moyen de rendre utiles les mains figées de sa partenaire. Elle oblige, elle guide les deux mimines fines à venir au-devant de son corps. Une fois posées sur les seins, Léa n’a pas d’autre alternative que de le découvrir. Elle le fait de bonne grâce, sans rechigner. Enfin le torse dénudé, la pression de la menotte ne se relâche pas, et elle mène les doigts de sa complice au bord du zip de sa jupe. Finalement, les yeux clos, alors que l’une a repris ses attouchements linguaux, l’autre a réussi à ouvrir le fourreau de sa nouvelle amie. C’est quand les premiers doigts s’occupent de la culotte que quelque chose dans l’esprit de Léa se met en alerte. Le signal est violent, lui indiquant qu’un truc ne colle pas. En effet, sous ses phalanges, lorsqu’elle descend sans regarder la culotte de Camille, un objet dur et suffisamment explicite se fait sentir. Léa rejette sa caboche en arrière, ouvre les yeux en grand et reste bouche bée. Devant elle frappant sur le ventre de… elle ne sait plus comment dire… un sexe d’homme se trouve là, tendu et prêt à l’emploi. — Mais… mais ce n’est… — Allons ! Calme-toi ! Tu n’as jamais vu de travesti ? Je croyais que tu avais compris depuis le début… — Ben… et ces nichons-là… comment est-ce possible ? — Un bon médecin et surtout un dosage d’hormone suffisant pour qu’ils poussent au départ et pour les entretenir ensuite. J’ai toujours eu une âme de fille, et le sexe d’homme m’est très utile… pour les situations telles que celle de ce ...