BM... W La suite 2
Datte: 01/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
L’eau tiède ruissèle agréablement sur mon corps, entraînant avec elle les tensions accumulées ses derniers jours. Un savonnage dans les règles de l’art fait office de massage. Bien qu’il soit 3h00 du matin, je ne voulais pas sombrer dans mon lit sans m’être lavé minutieusement. Je frotte chaque parcelle de mon corps en me remémorant l’immense plaisir que Jérôme m’a donné. Les mains pleines de savon atteignent naturellement mon sexe, le caressant langoureusement. — C’est surtout sur tes fesses qu’il s’est focalisé ! pensais-je à voix haute. Guidés par cette pensée, mes doigts glissent entre mes fesses et se retrouvent à l’endroit même où mon amant ma si longuement pris. D’une simple contraction musculaire, mon anus s’ouvre et mes doigts y pénètrent sans forcer. Sa puissante verge m’a tellement besognée que j’en reste béant et du sperme s’en écoule encore. — Entre les pipes et les sodomies, j’ai reçu ma dose de foutre ! continuais-je en revivant ses belles éjaculations. Je rouvre l’eau et me rince longuement avant de retrouver mon lit. Mes dernières pensées sont pour sa queue, en me promettant de ne pas trop attendre pour le rencontrer de nouveau. Puis c’est au tour de Morphée, de me prendre. Quel mec, lui aussi ! Le samedi est de tout repos, ou presque. Ménage, linge et repassage en regardant un film. Je passe cette journée à poil, c’est ainsi que j’aime être chez moi. J’adore sentir ma verge virevolter lorsque je marche, et puis l’étreindre régulièrement me rassure : elle est ...
... bien là. Un ami victime d’un grave accident avait dû subir de nombreuses opérations de reconstruction. Il me racontait qu’à chaque réveil après une anesthésie, il glissait une main sous les draps pour... vérifier. On est comme cela, nous, les mecs. Ça nous dépasse et nous mène par le bout du nez, la queue. En fin d’après-midi, lorsque les ombres deviennent longues, je ne peux cesser de repenser à Jérôme. Je me fais violence jusqu’à la tombée de la nuit, mais lorsque les lampadaires s’allument, compulsivement, mes doigts composent les 8 chiffres de son numéro de téléphone. — Je me demandais lequel allait craquer le premier ! lance-t-il lorsqu’il entend ma voix. — Toi aussi, ça te démange ? Alors tu me rassures. — Il me semble que dans un lit, nous nous entendons plutôt bien, nous serions idiots de ne pas en profiter, non ? — C’est pas faut et j’ai très envie de te voir, c’était si bon hier soir que... —Je peux être chez toi dans une trentaine de minutes, si tu veux. À peine ai-je raccroché que je file me préparer à le recevoir. Quand je dis “le recevoir”, c’est de mes intestins que je parle. En quinze minutes, je suis prêt à lui offrir le meilleur de moi, autant de fois qu’il le désirera. Côté repas, j’ai largement de quoi nous nourrir, nous aviserons. Le temps de ranger ce qui traîne, le carillon tinte. J’espère que ce sera bien lui derrière la porte, car je suis totalement nu ! Il passe la porte, une bouteille de vin à la main, tout sourire de me trouver dans le plus simple ...