BM... W La suite 2
Datte: 01/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... moment favori. — Tes reins sont si accueillants, comment résister ? Le gland trouve instinctivement sa place. À cet instant, 20 centimètres nous séparent. Je ne saurais dire lequel à le plus hâte de rejoindre l’autre, mais je pousse fort pour m’ouvrir et mon amant presse tendrement pour me pénétrer. La magie du désir mutuel fait le reste. Son gland repousse l’ourlet et se fraye un chemin, étirant et distendant toutes les chairs sur son passage. Une onde de chaleur se diffuse en vagues concentriques, ce qui sans nul doute serait l’expression de la douleur s’il s’agissait d’une première sodomie. Mon esprit appelle son sexe avec tant de force qu’il entre royalement en moi en trois lentes poussées successives. Ma main, libéré de son mandrin, cajole maintenant ses imposantes bourses. Jérôme passe son bras sur mon ventre et me plaque tout contre lui, sa verge totalement immobile au fond de mon ventre. Son autre bras passe sous ma tête pour pouvoir caresser ma poitrine. — Un gros câlin. marmonne-t-il. Tout doux. — Que c’est bon de te sentir si gros, j’en avais tellement envie ! Presque à regret, je lâche ses bourses pour étreindre sa fesse ; ma jambe crochète la sienne et je commence à contracter mon sphincter. Avec de minuscules mouvements de son bassin, il reprend vie et coulisse dans la gaine qui le reçoit. Mes muqueuses font corps avec son sexe, le moindre mouvement excite toutes nos terminaisons nerveuses, et Dieu sait s’il y en a à cet endroit. Les quelques centimètres de ...
... débattement suffisent à nous enflammer. Nos peaux se frottent et deviennent moites, nos soufflent deviennent feulements, nos mains se retrouvent sur mon ventre et même nos doigts s’emmêlent. D’instinct, nous ne baisons pas, nous faisons l’amour. L’instant n’est pas à la performance, mais à la tendresse. Je ressens distinctement l’ourlet de son gland frotter les parois de mon rectum, les veines de sa hampe riper au passage de mon sphincter et ses couilles qui viennent régulièrement s’échouer contre mes fesses offertes. Nous ne parlons presque pas, ce ne sont que des onomatopées, des oui, des encore, agrémentés de caresses et d’effleurements... Sa queue gagne du terrain, se retire pour mieux revenir et diffuser son plaisir. Nous sommes partis par calme plat, le vent commence à se lever et une légère houle se forme. Mon ventre chaud l’aspire quand il s’enfonce, le réclame dès qu’il recule. Ses mains sur mes hanches me guident d’avant en arrière. Les mouvements plus affirmés rendent son vît plus grand encore. Des frissons me parcourent de la tête aux pieds, eux aussi m’envahissent. Mon corps n’est plus qu’un rectum, toutes les informations partent de là ! Je le veux sur moi. Je glisse un oreiller sous mon ventre et l’entraîne sans nous désunir. Les reins cambrés, mes jambes écartées, le cul en l’air, Jérôme reprend sa possession. Dans cette position, il me paraît de plus en plus gros. Il me domine et c’est à lui qu’incombe la tâche de nous emmener vers la jouissance. Bien qu’il soit ...