1. Une fellation dans un WC public


    Datte: 02/08/2021, Catégories: h, hh, hhh, hplusag, hagé, inconnu, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... matière se limitait à des relations avec des camarades de pension – du « touche-pipi » d’ados, de la branlette de groupe – et à une relation d’une soirée avec un homme sans expérience qui fut un fiasco. Mais là, autant d’un coup… Ça fait un choc ! Mon envie d’uriner vient de disparaître d’un coup ; envolée, plus rien… Je sens mon sexe gonfler, je commence à bander. Je me sens quelque peu gêné. Mais au diable ! « Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. », comme a dit l’autre : comme il avait raison !« Merde, alors. » Tout en restant tourné vers le mur, je commence à tirer sur ma bite, doucement, mais sûrement. Addict à la masturbation depuis mon plus jeune âge, une branlette de plus ou de moins, je ne suis plus à cela près. Je me tourne légèrement vers l’assemblée pour voir leur réaction ; cela ne fait que renforcer leur attitude. Je sens bien que le courant passe ; je sens bien que maintenant je fais partie de leur groupe car ils sont tous là pour la même chose : mater de la bite. En me tournant, je sens un apaisement dans l’assemblée, un soupir de soulagement ; d’autres se tournent pour me faire voir leur bite : il y a vraiment de tout. À mon grand étonnement, je suis l’un des seuls à bander ; il y a quelques belles queues, mais peu en véritable érection… Surprenant. Il y a un gros gland sur une petite bite. Il y en a même un qui est monté comme un âne : courte, mais énorme et toute veinée ; elle me fait peur… Devant ma hardiesse, un homme vient se mettre à côté ...
    ... de moi pour regarder de plus près. « Ne te gêne pas ; vas-y, mate : c’est là pour ça, profitons-en ! » Je suis assez « exhibe » pour ne pas être choqué. Mon côté voyeur aussi est satisfait. Comment ne pas être satisfait ? Dix hommes qui me matent en train de me tirer sur la queue, ce n’est pas demain que cela se reproduira ! Ça, c’est pour le côté « exhibe ». Le côté voyeur aussi est pleinement ravi ; « bitophile » comme moi, pourquoi ne me suis-je pas dirigé vers toutes ces bites tendues vers moi ? La jeunesse, le manque d’expérience… Ce serait aujourd’hui, je crois que j’honorerais chacune d’elles d’une bonne pipe ou d’une bonne branlette. Mais bon, faut bien que jeunesse se passe… L’homme tend la main doucement vers mon sexe. Je me laisse faire. Une caresse, douce. Surprenant ; je m’attendais à autre chose, à quelque chose de plus rugueux vu son âge, mais le garnement sait y faire. Comme quoi lesa priori sont idiots. Il me masturbe doucement. Que du bonheur… Il se met accroupi devant moi, se saisit de mon dard et le fait entrer dans sa bouche, à fond, en une seule fois. Je vous parlais de bonheur ? Mais, mazette, ça, c’est du bonheur ! Il me prend le sexe dans une aspiration sans fin : une pipe de chez pipe, du jamais vu, du jamais ressenti, un aspirateur de 1500 watts. Une aspiration tout en faisant des allers-retours. À chaque fois, c’est à fond : une gorge profonde, sans soubresaut de rejet, et j’ai bien dix-sept centimètres à avaler, avec un diamètre honnête. Ça dure ...