1. Une fellation dans un WC public


    Datte: 02/08/2021, Catégories: h, hh, hhh, hplusag, hagé, inconnu, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... mais, bizarrement, je n’arrive pas à jouir ; est-ce dû à mon envie d’uriner ? C’est surprenant ; arriver à bander comme un cheval avec une envie de pisser, je crois que c’est tôt le matin que ça m’arrive, après une nuit de repos. Vous savez, quand on se lève avec la trique et une envie de pisser à vous fendre le crâne. Mais ça ne m’était jamais arrivé à deux heures de l’après-midi. Erreur de jeunesse, je ne profite pas du spectacle autour de moi, obnubilé par ce crâne avec une tonsure due à l’âge, qui va et qui vient à hauteur de mon bassin. J’en oublie d’être voyeur, tellement le plaisir est intense. Mais le plaisir ne dure pas ; un individu, placé près de l’escalier, fait un signe : quelqu’un vient. Tout le monde – y compris moi – se retourne ; mon amant d’un instant reprend une position « normale ». Un quidam fait son apparition ; il se dirige vers une pissotière. Lui, il est là pour pisser et rien d’autre, et il fait son affaire sans se soucier de qui est là. La messe est dite : adieu pipe du feu de dieu ; je vais me finir à la main. Je commence donc à me masturber, toujours partagé entre l’envie de pisser et celle de jouir ; c’est fabuleux. Je m’astique discrètement, l’autre étant encore là. C’est encore plus jouissif. Le fait de savoir que je me tape une branlette devant des demandeurs, c’est top ; mais le faire alors que l’autre a le dos tourné sans savoir ce que je fais, c’est… hummm ! L’autre – je dis « l’autre » car il ne fait pas partie du jeu – secoue son biniou, ...
    ... range son engin et s’en va. Il semble ne s’être aperçu de rien. Le guetteur nous fait signe que la voie est libre. Libre de continuer, car mon suceur revient à l’attaque, me sollicite ; je cède à sa demande et me revoilà la queue dans sa bouche. La succion succède à l’aspiration ; et là, je succombe, je jouis. Il me suce jusqu’à la dernière goutte : pas de gaspillage ! J’en ai le gland en feu, le cerveau en ébullition… Il se relève et me propose de le suivre du côté « Dames ». Ce n’est pas que l’envie me déplaise, mais cela fait trop longtemps que je suis parti et ma copine va commencer à se poser des questions. Je refuse l’offre gentiment. L’endroit ne me plaît pas : trop de gens côté « Dames », pas assez discret. Je lui demande s’il est possible de se revoir ailleurs et il me fixe rendez-vous le lendemain aux WC de la mairie, un endroit plus tranquille. Je repars retrouver ma copine, dans le magasin, qui commençait à trouver le temps long. Le lendemain, je vais à l’heure fixée pour le rendez-vous, mais l’homme n’y est pas. La différence d’âge doit y être pour beaucoup : comment faire confiance à un môme de vingt ans quand on a l’âge d’être son père ? Peut-être a-t-il cru à un piège ? Je ne sais pas ; mais le fait est qu’il n’y est pas… Dommage. Aujourd’hui, j’ai cinquante-six ans et je regrette de ne pas l’avoir suivi ; un suivi avec ce monsieur n’aurait pas été pour me déplaire… Dommage ! Juste pour info : je ne sais pas comment j’ai fait, mais je ne suis pas allé pisser ...