Le Net ce n'est pas si bien
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
fsoumise,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
préservati,
double,
fsodo,
jouet,
sm,
attache,
yeuxbandés,
init,
extraconj,
... purée. Lise a le visage souillé de sperme et son amant, couché sous elle, n’est pas indemne des éclaboussures. Cela ne le gêne pas. Qui, de Lise, de l’homme ou de Vincent s’agite le plus ? Difficile à dire tellement le trio semble animé de toutes parts. Je ne sais pas ce qui m’excite le plus : la vision de ce visage tant aimé, souillé par le sperme qui laisse des traînées blanchâtres, les mimiques, grimaces et gémissements des protagonistes qui se mélangent dans un tintamarre lourd de sexe, la vue de ces deux sexes qui se battent pour la prendre le plus possible, mon propre plaisir et celui de ma maîtresse, voyeurs de ce qui se passe juste à quelques mètres ? Non, je sais, c’est la jouissance des deux hommes. La soumission de ma femme, soubrette aveugle, livrée au stupre de ses employeurs et qui se prête de bonne grâce à leur bon plaisir. Et leur plaisir, c’est le mien. Alors que je jute dans ma capote sous les encouragements de ma partenaire qui pour rien au monde ne quitterait sa position de voyeuse, les deux hommes arrachent leur propre préservatif et dirigent leurs jets de foutre vers la bouche de Lise après qu’on lui a retiré le plug. La soubrette se charge du ménage des deux queues qui lui sont proposées. Jet après jet, goutte après goutte, elle reçoit et tète les pis d’homme, pour ne rien laisser, comme si la survie du monde en dépendait. Je me demande un instant si elle est rassasiée, si sa soif de queue et de sperme est épanchée. Maylis m’entraîne. Nous revenons à ...
... la lumière et je laisse derrière moi ce monde de perversité si agréable. Le temps passe. La nature s’épuise et mes adoratrices ne peuvent plus rien tirer de mes couilles vides. Il faut rentrer. Dans quelques heures, nous recevons mes parents chez nous. Je demande que l’on prévienne Lise. Drika revient avec une réponse que je ne peux comprendre. Je vais moi-même pour la voir. Elle est toujours dans le studio, une femme la lutine. Ma question la dérange. J’insiste et pour la première fois elle me répond sèchement. — Non, je reste, dis à tes parents que je suis malade. Je me retrouve comme un con sur le chemin du retour. Je n’ai pas osé insister, de peur de passer pour un faible qui implore sa femme de rentrer avec lui. L’excuse est peu glorieuse, mais dès le matin j’annule ce repas. Le reste de la journée s’étire, interminable. À chaque bruit je pense que c’est Lise, mais il est 20 h passées quand la porte s’ouvre. Tout de suite je remarque qu’elle est éméchée et qu’elle traîne avec elle une odeur de fumée qui ne provient pas du tabac. Qu’a-t-elle fait ? Elle sait pourtant qu’elle est extrêmement sensible à ce truc et qu’elle ne contrôle plus rien. Je vais lui parler, mais un « Je suis fatiguée, je vais me coucher » me clos le bec. Dès le lendemain, je comprends que tout a basculé. Elle refuse d’expliquer son comportement. Le week-end suivant elle prétexte un rendez-vous avec une copine et me laisse. Bien sûr, je ne suis pas dupe et en passant devant la maison de nos amis, je ...