Le Net ce n'est pas si bien
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
fsoumise,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
préservati,
double,
fsodo,
jouet,
sm,
attache,
yeuxbandés,
init,
extraconj,
... vois sa voiture. J’ai encore un peu de fierté et n’entre pas. Les suivants sont pareils. La semaine n’est qu’une suite de silences. Je sais que ses employeurs cherchent à la joindre. Ce n’est pas possible, elle est envoûtée. Ce n’est plus « Ma Lise » qui partage ma vie, mais pour encore combien de temps ? Je pense à une séparation si rien de change. Et comment changer si tout dialogue est impossible ou fermé par un « C’est ma vie » imparable. Deux mois passent. C’est fini, je vais divorcer. Mais Drika m’appelle un dimanche midi. — Si tu veux récupérer ta femme, viens. Appelle-moi en arrivant, gare-toi assez loin, je t’attendrai dans la rue. Elle est là. En silence elle m’entraîne en faisant le tour de la maison. À la question : Lise est là ? Elle répond : oui. — Je veux la voir.— Il ne faut pas qu’on nous voit, ce n’est pas prudent. Il faut que je te parle.— Je veux la voir. J’insiste sur un ton qui ne supporte pas un refus. — D’accord, mais ne fais pas de bruit. Elle me guide au sous-sol, mais au lieu d’entrer dans la pièce que je connais, elle ouvre une porte et sans allumer la lumière la referme derrière moi. — Elle est là. Oui, elle est bien là. Derrière la glace, la cloison transparente, juste à quelques mètres, même si j’ai du mal à la reconnaître. — C’est une glace sans tain. Ils ne peuvent pas nous voir, mais ne fais pas de bruit, dit Drika. Lentement j’examine la pièce. Lise, car c’est bien elle, même si elle paraît différente, est bien à côté. Mais c’est une Lise ...
... transformée, une Lise blonde avec des couettes et des lunettes, une Lise rajeunie de dix ans, une adolescente qui est là. Mais pour le reste c’est autre chose. Cette Lise est attachée, immobilisée par des cordes qui pendent du plafond et qui tirent ses bras en V vers le haut. Une Lise bâillonnée avec une sangle qui rive une boule entre ses lèvres, d’où des filets de salive suintent. Une Lise, la peau d’une blancheur surnaturelle que la jupette écossaise, costume fantasmatique, qui la catalogue comme écolière, tranche avec ses seins rouges, presque violets. Ses seins sont gonflés tels des melons dont la queue pointe et je devine que quelque chose, une corde ou un élastique en est la cause, les pressant en avant. Des chaînettes pendent de ses tétons martyrisés par des pinces métalliques. Autour d’elle, l’incontournable Christiaan évolue avec sa caméra, mais aussi une femme, maîtresse gainée de rouge de la tête aux pieds avec juste les seins qui pointent tels deux entités de chairs émergentes du latex. Mais quelque chose d’autre pointe, excroissance improbable d’un corps aux formes arrondies et voluptueuses, véritable dard, sexe d’homme, mandrin d’un noir sombre, aux boules généreuses qui pend sous son propre poids La femme tourne autour de l’écolière, le sexe lui donnant une démarche singulière et elle lui parle tout en la châtiant. J’imagine que ses paroles sont des paroles qui justifient les gestes de punition car malheureusement aucun micro ne me les transmet. La punition est ...