Le Net ce n'est pas si bien - Histoires de Sexe

Le Net ce n'est pas si bien

... variée mais pas trop forte. Elle tire sur les chaînes, tape du plat de la main les boules de chairs gonflées de sang, accompagnant quelque fois ses mouvements de coups de cravache sur le pubis, la chatte et les fesses. Lise se tortille sous la punition. Ses yeux roulent, ses lèvres cherchent à chasser la boule qui entrave sa bouche. Mais la femme semble intraitable. Pourtant elle abandonne la cravache pour attraper une fiole et tout en continuant de parler enduit sa longue queue. Lise ne quitte pas des yeux le phallus qui devient brillant du liquide. La femme avance, fait mine de s’engager par-devant mais en réalité elle fait le tour pour se placer derrière. Maintenant elle parle à l’oreille de ma femme et celle-ci répond d’un geste de négation, avec une mimique d’angoisse. Manifestement elle n’est pas entendue et la femme pousse son engin en fléchissant les jambes et d’une poussée qui projette Lise en avant lui enfonce une bonne partie de la queue dans l’anus. Des larmes coulent sur le visage de mon épouse. C’en est trop. — Je vais la chercher, dis-je en cherchant la porte.— Non, ne bouge pas, m’intime Drika.— Mais c’est un véritable viol, regarde elle pleure. Ils la martyrisent.— Mais non, la queue n’est pas si grosse. Et jamais Christiaan ne ferait du mal à une femme. C’est un jeu un peu poussé, c’est tout.— Peut-être mais elle ne peut pas refuser, elle est bâillonnée.— Regarde dans la main de Lise. Tu vois ce petit boîtier ? Oui, eh bien il suffit qu’elle appuie dessus ...

... et tout s’arrête. Elle dit vrai, en effet, je vois bien un bout de plastique enfermé dans la main droite de ma femme. — Rassuré ?— Oui. Pendant ce temps ma femme subit les assauts du mandrin se balançant au rythme des enculades. — Je t’ai fait venir pour autre chose. Viens, dit Drika. J’avais presque oublié la raison de ma présence. Je la suis. Nous allons dans un bureau. — Attends une seconde. Elle réveille un ordi, cherche un fichier et une fois qu’elle l’obtient me propose de regarder. C’est une page avec des vignettes, chacune montrant un extrait de vidéo. En déplaçant la souris, je vois très vite que les vidéos sont avec ma femme, celles que Christian nous a données et d’autres que je ne connais pas, certainement faites sans moi, ces dernières semaines. — Alors ? interroge Drika.— Alors, alors. Rien. Sauf que la plupart ont été faites sans moi.— Mais regarde bien. Regarde en haut. Regarde l’adresse. Alors, je comprends. C’est une adresse de site. Ce n’est pas comme je le pensais, un écran sur cet ordi, non, c’est un site. — Tu comprends maintenant ? insiste Drika.— Mais c’est dégueulasse. Au moins j’espère que le site est sécurisé et que personne ne peut l’atteindre directement.— Mais si. Il est ouvert à tous. Chacun peut voir un extrait et, s’il s’abonne, il a accès à la totalité. Je suis atterré. On va reconnaître Lise, c’est certain. Ce genre de site est visité par les hommes, moi le premier, et sa réputation va devenir intenable. Et moi, le mari… Et son employeur… Ses ...