1. Garde-à-vous !


    Datte: 13/11/2017, Catégories: ff, hh, fhh, couplus, hsoumis, 69, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... toi. Armelle sait mon métier et l’amour que je lui porte. — Tu te souviens lorsque tu m’as demandé ce que je faisais ? dis-je.— Très bien, et lorsque tu hésitais à répondre, je t’ai même provoquée en disant « Si tu ne réponds pas, c’est que tu travailles aux impôts ou que tu es pute. » Et tu avais précisé « Ou flic, ou gendarme… »— Alors !— D’accord, mais cela ne m’empêche pas de penser que tu gâches ton physique. Si j’étais un homme, là en ce moment, je t’aurais déjà enlacée, et avec ton accord je te montrerais mon admiration.— Tu n’es pas mal non plus. Je te retourne le compliment.— On est bien avancé maintenant. J’ai fini de m’essuyer. Je suis nue. Ma serviette gît sur la banquette. Armelle me regarde sans rien dire. Un ange passe. J’ose un mot, et tout en me rapprochant d’Armelle je dis : — Les hommes ne sont pas tout, dans la vie. Elle est face à moi. — Toi aussi tu es belle. Je sens le trouble dans son regard. Le trouble mais pas l’inquiétude. Je prends sa serviette. Elle me la laisse. Maintenant elle aussi est nue. Je la regarde. Je la détaille. Ses vêtements laissaient deviner un corps bien charpenté, plantureux, avec de beaux seins fermes, des fesses charnues, un pubis bombé. Je me dirige vers la porte, donne un tour au verrou. Le bruit résonne comme une porte de prison. Je reviens vers elle. Elle me suit du regard. Le petit sourire de ses lèvres est un accord muet. Depuis un moment je me demandais si l’assiduité d’Armelle ne cachait pas autre chose que le tennis. ...
    ... Je sentais qu’elle me couvait des yeux, mais certainement retenue par ma profession n’osait pas s’engager. C’est donc moi qui fais le premier pas. La porte close, maintenant je suis tout contre elle. Ma main se saisit de son visage, mes lèvres viennent effleurer les siennes. C’est doux, délicat, humide. C’est elle qui s’ouvre pour laisser sa langue venir à moi. Très vite, l’ambiance change. Nous sommes enlacées, corps contre corps, et nos langues bataillent. J’aime les femmes. J’aime les hommes, bien sûr, mais avec une femme c’est différent. — Oh, Letty, depuis le temps que j’attends… m’avoue ma complice entre deux baisers.— Je n’osais pas, je réponds dans un souffle. Mais le temps n’est plus à la parole, les actes viennent. Les baisers s’enchaînent. J’aime les lèvres des femmes, plus charnues, plus ourlées, plus parfumées que celles des hommes. Et que dire du reste… Mes mains s’emparent de son corps. Pas un centimètre n’échappe à ma vigilance. Petit à petit elle a reculé sous ma pression et elle est maintenant appuyée contre le plan sur lequel s’alignent les lavabos. D’une main puissante, je la soulève pour la faire asseoir. Je quitte ses lèvres pour explorer ce que mes mains ont reconnu. Ses seins si beaux, si gonflés avec des tétons que je dévore et mordille, arrachant des soupirs à ma complice. Et puis, abandonnant les deux tétons à mes doigts qui les tordent, je descends. Je trace un sillon de salive des seins au nombril. Nombril source de la vie, toujours oublié, mais ...
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