Petits secrets de village - Julia et Manon
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... les genoux jusqu'au contact du plastique blanc du lit piscine, Julia s'est balancée pour glisser sur ses fesses vers elle, son ventre collé au ventre de Manon et ses genoux refermés sur ses cuisses. Les joues de Manon étaient maintenant cramoisies. Elle tenait la pince à épiler levée d'une main, l'autre main hésitante à hauteur du sein de Julia qui s'était à nouveau penchée en arrière en appui des deux mains dans son dos, visage levé vers le soleil et les yeux fermés. Elle attendait. Ce sont ses yeux fermés qui ont décidé Manon. Elle a pincé le sein entre ses doigts pour faire gonfler l'aréole et s'est approchée pour mieux voir ce poil disgracieux qui dérangeait Julia. Un, deux petits poils blonds, à peine visibles. Elle s'est appliqué, les a saisis du bout de la pince et a tenté de les arracher, geste trop hésitant, a dû s’y reprendre à plusieurs fois. En levant les yeux un instant, elle a vu Julia les yeux toujours clos qui se mordait la lèvre inférieure. — ... tu en vois d'autres ? Moi, sans mes lunettes ... Manon lissait d'un doigt léger la peau grenue qui se gonflait doucement à son contact, arquait les sourcils et serrait les lèvres sur un sourire tremblé en voyant le téton lentement se déployer, la peau brune se défroisser doucement au fur et à mesure que le bourgeon se dressait. Julia riait. — Ça me fait toujours ça ... je sens mes tétons qui se dressent ... frotte ! ça va passer ! Manon n'a pas osé frotter le téton pour calmer son érection. Elle était un peu ...
... embarrassée et sa main trop douce a eu l'effet inverse, excitant le téton au lieu d'en calmer la tension. Elle a senti bien sûr les genoux de Julia se fermer plus fort sur ses cuisses, a senti la lente oscillation du bassin de Julia dont le ventre nu frottait contre le nylon de son maillot de bain et toujours elle effleurait en réflexe le bourgeon de chair qui saillait du sein. Elle se sentait maladroite et responsable de cette réaction qu'elle avait provoquée. Elle en était troublée. C'était sa faute ! Alors quand Julia s'est redressée, qu'elle a vu ses yeux agrandis d'étonnement, qui papillonnaient en se fixant aux siens, que Julia a passé une main dans son cou et attiré son visage pour coller ses lèvres aux siennes d’un baiser rapide, enfermant sa main jusque-là légère et maintenant entièrement fermée sur le sein chaud, elle n'a pas protesté, ne s'est pas reculée, a simplement gémi en fermant les yeux, en pleine confusion. — C’est rien, t’en fais pas. — Pardon ! Je ... je voulais pas ... Elle avait les yeux gonflés de larmes. — C'est rien ... c'est rien ... Tu n'y es pour rien ... enfin ! bon ! Un peu ... Tu es très douce, je ... on contrôle pas ces réactions, tu sais bien ... ooooh !! Elle s'était un peu reculée et du dos d'un doigt balayait un téton de Manon qui pointait sous le fin nylon de son soutien-gorge. En réaction à ce contact, Manon aurait pu, dû ? se reculer, s'échapper ? au lieu de ça, sous l'effet de la surprise, agitée d'un frisson, elle a resserré ses doigts plus ...