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Le beau camion blanc
Datte: 04/08/2021, Catégories: Mature,
... branlais le toisant avec toute l’insolence dont je me crus capable.Le sucer me prit un temps infini.Je câlinais ce membre qui devait dans un instant me laminer, me ravagerentre les cuisses. On eût dit que je forgeais l’épée dont je devais êtrepourfendue. Ses gros doigts mâles et ouvriers pendant ce temps seperdaient en caresses dans ma chevelure blonde. La forêt autour de nousrespirait un silence empli des sons caractéristiques des lieux. L'airfrais se glissait sous ma jupe. C’était fort bienvenu. J’avais le feu aucul. J’avais besoin qu’on me prenne et éteigne l’incendie. Je le suçaisme gardant d’aller loin. Sa queue en fait était à point. Je me jetais enarrière le fixant comme pour savoir la suite. Il me demanda si jevoulais aller sous un arbre ou demeurer ici. Je trouvais amusant d’êtreprise sur un tapis de feuilles. J’y jetais bientôt mon manteau debourgeoise.Je savais notamment par mon mari émérite chasseur qu’il y a avait desfois dans ces contrées des battues et chasses à courre. On forçait legibier. Je rêvais de ces biches et mieux de ces cerfs alors jetés sousla dents des chiens. Ne pouvais-je être cette fois la biche offerte à laprédation d'un dard lourd et omniscient ? Spontanément je mepositionnais telle une chienne à quatre pattes croupe tendue. Mon amantinstaura à dessein le répit différant l’assaut inéluctable. Je percevaisson souffle. Je devinais qu’il branlait sa verge. Par un ondoiement deshanches je l’invitais d'abréger. Un pas lourd bientôt sur le ...
... feuillagemarqua le début de la curée. Ce furent d’abord ses mains puis la tête deson sexe qui vinrent forcer le seuil du sanctuaire.Il n’avait pas menti. L'homme maniait l'outil remarquablement. Son coupde rein alliait force et précision. J’étais pilonné avec méthode. J’enavais le souffle coupé. Je suffoquais, yeux exorbités. Je l’abjurais den’avoir cure de mes cris. Cette fureur lui convenait. L’hallali sonnait.Je devais irrémédiablement succomber. Cet homme doux et avenant mesoufflait à l’oreille des grossièretés avec la pointe de sadisme dont jene l’eus cru capable. Cela dura un temps interminable. Il ne fatiguaitpas. Son sexe ne marquant nulle faiblesse. Enfin il s’arrêta. C’étaitétonnant que ce bolide lancé sans frein put s’arrêter soudain etdemeurer inerte. Quelque instant du moins. Il sourit me demandant s'iln’avait été trop brutal.Il comprit à mon sourire que j’étais exaucée. J’allumais une cigarette.Il me signifia qu’il ne fumait pas. Il ajouta riant qu’il n’avait tantde vice. Il passa sa main sur mon cul comme un sculpteur avisant lamatière qu’il travaillerait. Cela augurait que l’ouvrage n’était pasfini. Il gardait le meilleur pour la suite. En effet je me remis àquatre pattes. Il s’attaqua à la porte et à l’orifice inviolé des prudesfemmes. Depuis longtemps je n'avais été punie, souillée de la sorte. Cechemin constituait pour moi le signe de l’abjection. Égout etpourriture. L’homme qui m’enculait avait droit à me traiter de tous lesnoms. Il ne s'en priva pas. Allant ...