Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Partie 1 / Joyeux Noël Je n’ai vu que ça quand je me suis approché du bâtiment de cette aire d’autoroute. Il avait ce regard de « crève la dalle », comme quelqu’un qui t’invite à la luxure dans la seconde. Il a fait naître chez moi cette enivrante envie immédiate de sexe. Pourtant je n’étais là que pour pisser, moi qui étais sur la route du repas familial de Noël. Jamais je n’aurai pensé prendre une si longue pause pour me vautrer dans le plaisir intense du bon sexe partagé. Je ne pensais vraiment pas que ce mec, cette étoile filante, allait m’emmener si loin, m’embarquer dans un plan dont je me rappellerai toute ma vie. Et c’est déjà ce que je me disais au volant de ma voiture en repartant de cette aire d’autoroute. ----- Une heure auparavant … Je viens d’arrêter ma voiture sur cette aire d’autoroute que je connais bien. Elle est à mi-chemin entre mon chez-moi et la maison de mes parents. C’est un endroit que je fréquente pour faire une pause, mais aussi traîner un peu pour y rencontrer quelques hommes et y prendre du plaisir rapide. Aujourd’hui il y a quelque chose dans l’air de particulier. C’est le jour de Noël. Je pense l’endroit désert et pourtant, devant moi, un homme d’environ 45 ans entre dans les toilettes. Je le suis pour rejoindre les urinoirs. Je dépasse les hauts bosquets qui cachent la partie gauche du parking. Mon regard est attiré par une autre présence, un mec de 25 ans environ. Il est grand, cheveux courts, brun, corps fin, du charme mais sans être un ...
... canon. Je ne le détaille pas plus, car je suis accaparé par son regard : il me fixe, son corps se tourne pour me faire face, il semble intéressé, intrigué par ma présence. Et son regard me capture, me prend à la gorge – pour ne pas dire à la queue ! Je continue à avancer vers la droite, mais ma tête tourne sur la gauche pour ne pas lâcher le contact visuel. Il a lancé un hameçon et il a fait mouche. Il ne me questionne pas, il ne demande pas d’objection. Il affirme ! J’entre dans le bâtiment, côté garçon. Nos regards se sont lâchés car le mur en béton a coupé le court du monologue. En deux secondes, je suis à un urinoir et j’ouvre ma braguette. J’ai choisi celui de gauche laissant la place de droite libre. L’homme de 45 ans n’y est pas. Le jet de mon urine commence à couler quand je sens une présence dans mon dos. En un quart de seconde il est à ma droite, ses mains farfouillent sa braguette et il sort son engin. Je regarde son visage, il me scrute. Là encore, il est sûr de lui. Je pisse encore et le regarde fixement quand, dans un mouvement lent, il décroche de notre lien. Sa tête se tourne, son regard se baisse et, comme hypnotisé, je suis son mouvement. Il m’indique ce qu’il faut voir, l’objet de toute son envie : sa queue est bandée, érigée et il veut que la voit, l’admire. Je ne vois pas alors son regard se détourner de son engin pour venir se poser sur le mien. Je regarde son magnifique braquemart alors que lui mate le mien qui finit de pisser dans le bogue. En un rien de ...