1. Bastien - chapitre 2 : made fantasies


    Datte: 04/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... découvrir de nouveau ma fière trique. Il me suce de nouveau, me rend la pareille dans des mouvements de lèvres, de langues, de parois buccales qui font monter à la fois le désir et le plaisir. Quelques minutes de ce traitement et je me sens irrémédiablement en chemin vers la jouissance. Il le sent, il le sait. Il est sûr de ce qu’il me fait, de ce qu’il procure. Alors, d’un mouvement rapide, il me tourne et de sa langue pointue il vient titiller ma rondelle. Je découvre ce plaisir, jamais personne n’est venu jouer dans ce terrain de jeu là. Il lèche, pointe, enfonce, caresse. Et cela me tire encore plus dans un plaisir fou. Il crache, son doigt étale puis enfonce. Il lèche encore puis crache. Son doigt enfonce encore. Il tourne … retourne … ressort. Il lèche, pointe, caresse, lèche. Son doigt rejoint la langue dans un mouvement d’une douceur incroyable. Il enfonce et lèche d’une même caresse. D’un coup, il se lève, baisse son froc, présente son dard face à mon trou, et s’enfonce d’une seule traite. Je suis tellement détendu qu’il entre en moi sans résistance. Il patiente au fond de moi. Je reprends mon souffle. Mais ...
    ... mains appuie plus fort sur le bord du lavabo. Il se colle à moi. Et sa queue commence un lent mouvement de piston qui accélère petit à petit. Les engrenages du plaisir montent peu à peu chez moi. Ses mains empoignent mes hanches et il se démène maintenant dans un mouvement régulier. Son souffle court sur ma nuque, sa queue s’active dans mon trou. Je gémis. Je me penche, je m’ouvre un peu plus. Il poursuit sa tâche en moi. J’attrape ma queue et je me branle en cadence avec ses mouvements. Et dans un dernier coup de rein, il emporte nos deux jouissances. Je viens sur les carreaux du lavabo, et sa crème se répand dans mon antre vaincue. Il se retire, se rhabille et sans un mot, repart vers sa voiture. Je file chercher du papier pour m’essuyer les fesses, la main gauche et le gland. Je me rhabille à mon tour. Je prends une grande respiration. J’ai les yeux plein de poussières d’étoiles. Je retourne à ma voiture, je suis désormais seul sur l’aire d’autoroute. Et à mon tour, je reprends la route vers mon repas familial de Noël. Tout du long du trajet, je n’ai pas arrêté de me dire : « Putain ! quel cadeau cette année !!! » 
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