Mi-juillet... Chut...
Datte: 05/08/2021,
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... à l’échelle 1/100e, nous avons passé un moment fabuleux, rempli de tendresse et d’envie. De part l’ambiance générale du lieu, entre les commerçants proposant leurs quelques légumes, et les éventuels acheteurs qui après maintes discussions arrivaient à s’entendre, et de part ses mains qui toujours cherchaient ma peau à caresser ou mes lèvres à embrasser. Effleurements, gestes sensuels, doigts qui se lient, sourires qui s’échangent, mots pour faire rire… Oui, matin bonheur… Je suis nue sous mon sari couleur fraise bien mûre, cette couleur me donne un teint éclatant, appétissant devrais-je dire, ma peau claire sous le soleil a pris une jolie teinte dorée, croustillante. Mais il n’y a pas que le soleil qui en est la raison, l’état de bonheur dans lequel je me trouve doit agir lui aussi, pour que je resplendisse autant. Le miroir me renvoie l’éclat d’une femme heureuse. Avec lui, j’ai appris à découvrir le corps de l’homme sans précipitation, tout se passe dans la retenue, la lenteur du geste pour en apprécier la justesse. Agir en mettant nos cinq sens en avant. Sexualité proche du tantrisme, rien d’étonnant, c’est issu d’une culture indienne. Ah ! les positionskamasoutresques… Tous les deux nous avons commencé à nous apprécier, avec nos mots de manière réciproque, chacun essayant de donner du répondant à l’autre. Il est très doué pour l’écriture, c’est son métier, il est journaliste et ses poèmes sont magnifiques, osés, osants, érotiques à souhait. Puis est venu rapidement ...
... l’envie de connaître sa voix. Et là, deuxième bonne surprise, il est d’origine égyptienne, et avec l’accompagne un accent qui me fait vibrer. Parfois les matins, au téléphone, le prendre juste à son réveil, lui toujours couché sur son lit. La tonalité de ma voix éveille son désir d’homme, il me dit bander, fort, très fort. Je l’imagine allongé entre ses draps, nu, le corps tendu à l’appel que je lui envoie. Se caressant la hampe, le sexe dressé, mon timbre câlin excitant ses sens. Le désir de prendre, de posséder celle qui le cherche… jeu de séduction… jeu d’approche. Un jour, dans un de ses mails, il m’a demandé "d’oser… Oser…" Et est venu le goût et le plaisir de me prendre en photo. Je me souviens de la toute première. Je l’ai faite sur mon lieu de travail, à la sauvette, sans plus réfléchir que ça. J’ai saisi l’appareil qui me sert pour mes croquis, sorti mon sein gauche du bonnet de mon soutien-gorge, un flash et mon mamelon qui pointe vers l’objectif comme pour le saluer ou être sucé. Ensuite j’ai photographié mes fesses bien rebondies, dans un recoin, à l’abri d’éventuels regards. Et les jours suivants je me suis appliquée à poser naturellement chez moi, de dos, une main sur les hanches, presque nue, ou en tenue coquine dentelle pour faire ressortir la blancheur de ma peau. Je sentais ma sensualité se dégager de mes clichés. Et une où je suis allongée sur mon canapé, ma main sur ma vulve avec mes doigts laissant deviner mes lèvres et on aperçoit mon sein droit avec mon ...